Commission Regulation (EC) No 152/2009 of 27 January 2009 laying down the methods of sampling and analysis for the official control of feed (Text with EEA relevance)
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- Règlement (UE) no 278/2012 de la Commissiondu 28 mars 2012portant modification du règlement (CE) no 152/2009 en ce qui concerne la détermination des teneurs en dioxines et en polychlorobiphényles(Texte présentant de l'intérêt pour l'EEE), 32012R0278, 29 mars 2012
- Règlement (UE) no 51/2013 de la Commissiondu 16 janvier 2013modifiant le règlement (CE) no 152/2009 en ce qui concerne les méthodes d’analyse applicables en matière d’identification des constituants d’origine animale pour le contrôle officiel des aliments pour animaux(Texte présentant de l'intérêt pour l'EEE), 32013R0051, 23 janvier 2013
- Règlement (UE) no 691/2013 de la Commissiondu 19 juillet 2013modifiant le règlement (CE) no 152/2009 portant fixation des méthodes d’échantillonnage et d’analyse(Texte présentant de l'intérêt pour l'EEE), 32013R0691, 20 juillet 2013
- Règlement (UE) no 709/2014 de la Commissiondu 20 juin 2014portant modification du règlement (CE) no 152/2009 en ce qui concerne la détermination des teneurs en dioxines et en polychlorobiphényles(Texte présentant de l'intérêt pour l'EEE), 32014R0709, 27 juin 2014
- Règlement (UE) 2017/645 de la Commissiondu 5 avril 2017rectifiant la version en langue lettone du règlement (CE) no 152/2009 portant fixation des méthodes d'échantillonnage et d'analyse destinées au contrôle officiel des aliments pour animaux(Texte présentant de l'intérêt pour l'EEE), 32017R0645, 6 avril 2017
- Règlement (UE) 2017/771 de la Commissiondu 3 mai 2017portant modification du règlement (CE) no 152/2009 en ce qui concerne les méthodes de détermination des teneurs en dioxines et en polychlorobiphényles(Texte présentant de l'intérêt pour l'EEE), 32017R0771, 4 mai 2017
- Règlement d’exécution (UE) 2020/1560 de la Commissiondu 26 octobre 2020modifiant l’annexe VI du règlement (CE) no 152/2009 fixant les méthodes d’analyse applicables en matière d’identification des constituants d’origine animale pour le contrôle officiel des aliments pour animaux(Texte présentant de l’intérêt pour l’EEE), 32020R1560, 27 octobre 2020
- Règlement d’exécution (UE) 2022/893 de la Commissiondu 7 juin 2022modifiant l’annexe VI du règlement (CE) no 152/2009 en ce qui concerne les méthodes d’analyse applicables en matière de détection des constituants d’invertébrés terrestres pour le contrôle officiel des aliments pour animaux(Texte présentant de l’intérêt pour l’EEE), 32022R0893, 8 juin 2022
- Règlement d’exécution (UE) 2024/771 de la Commissiondu 29 février 2024modifiant le règlement (CE) no 152/2009 portant fixation des méthodes d’échantillonnage et d’analyse destinées au contrôle officiel des aliments pour animaux(Texte présentant de l’intérêt pour l’EEE), 32024R0771, 15 mars 2024
Lot: quantité identifiée d’aliment pour animaux dont il est établi qu’elle présente des caractéristiques communes, telles que l’origine, la variété, le type d’emballage, l’emballeur, l’expéditeur ou l’étiquetage, et, dans le cas d’un processus de production, une quantité de produit fabriquée dans une seule usine en utilisant des paramètres de production uniformes ou plusieurs de ces quantités lorsqu’elles sont produites en ordre continu et entreposées ensemble. Portion échantillonnée: lot ou partie identifiée du lot ou du sous-lot. Échantillon scellé: échantillon scellé de manière à ce qu’il soit impossible d’accéder à l’échantillon sans briser ou retirer le scellé. Échantillon élémentaire: quantité prélevée en un point de la portion échantillonnée. Échantillon global: ensemble d’échantillons élémentaires prélevés sur la même portion échantillonnée. Échantillon réduit: partie de l’échantillon global, obtenue par réduction représentative de celui-ci. Échantillon final: partie de l’échantillon global (mélangé), de l’échantillon réduit ou de l’échantillon global homogénéisé, selon le type de contrôle (voir le point 9.4). Échantillon de laboratoire: échantillon destiné au laboratoire (tel que reçu par le laboratoire) qui peut être l’échantillon final, l’échantillon réduit ou l’échantillon global. Échantillon de marchandises vendues à distance: échantillon d’un lot d’aliments pour animaux mis en vente au moyen d’une technique de communication à distance.
Les échantillons sont prélevés par des personnes habilitées à cet effet par l’autorité compétente. Pour un échantillon de marchandises vendues à distance, l’autorité compétente demande une quantité d’aliments pour animaux à l’exploitant du secteur de l’alimentation animale au moyen d’une technique de communication à distance. L’échantillon doit être scellé de sorte qu’il soit impossible d’y accéder sans briser ou retirer le scellé.
Identification de l’échantillon: l’échantillon doit être pourvu d’une marque indélébile et être identifié de façon à établir un lien non équivoque avec le rapport d’échantillonnage. Les échantillons finals suivants sont prélevés sur chaque échantillon global ou échantillon réduit: un échantillon est prélevé à des fins de contrôle (surveillance du respect de la loi) et un autre est prélevé à l’intention de l’exploitant du secteur de l’alimentation animale (à des fins de recours). Enfin, un autre échantillon final peut être prélevé à des fins de référence. Si l’échantillon global complet est homogénéisé, les échantillons finals sont prélevés sur celui-ci, à moins que cette procédure ne soit contraire à la législation des États membres concernant le droit des exploitants du secteur de l’alimentation animale. Conformément à l’article 15, paragraphes 1 et 2, du règlement (UE) 2017/625, dans la mesure où c’est nécessaire à la réalisation des échantillonnages officiels, les exploitants du secteur de l’alimentation animale doivent, lorsque les autorités compétentes l’exigent: autoriser l’accès du personnel des autorités compétentes aux équipements sous leur contrôle, y compris, si nécessaire, en mettant à sa disposition l’équipement d’échantillonnage et de protection individuelle adapté, aider le personnel des autorités compétentes et coopérer avec lui afin de permettre le prélèvement d’échantillons, y compris en lui donnant accès aux aliments pour animaux.
Les exigences quantitatives relatives au nombre d’échantillons élémentaires figurant aux points 5.1 et 5.2 s’appliquent à des portions échantillonnées n’excédant pas 500 tonnes et qui peuvent faire l’objet d’un échantillonnage représentatif. La procédure d’échantillonnage décrite est aussi valable pour des quantités supérieures à la taille maximale prescrite pour la portion échantillonnée, à condition de ne pas tenir compte du nombre maximal d’échantillons élémentaires indiqué dans les tableaux figurant ci-après au points 5.1.1, 5.1.3 et 5.1.5 — le nombre d’échantillons élémentaires étant déterminé grâce à la formule mathématique indiquée dans la partie pertinente de la procédure (voir le point 5.3) — et d’augmenter proportionnellement la taille minimale de l’échantillon global. Il est néanmoins possible de diviser un lot de grande taille en sous-lots plus petits et d’échantillonner chaque sous-lot conformément à la procédure décrite aux points 5.1 et 5.2. La taille de la portion échantillonnée doit être telle que toutes les parties qui la composent puissent être échantillonnées. Pour les lots ou sous-lots de très grande taille (> 500 tonnes) et les lots qui sont transportés ou stockés d’une manière qui ne permet pas d’effectuer l’échantillonnage conformément à la procédure prévue aux points 5.1 et 5.2 du présent point, la procédure d’échantillonnage prévue au point 5.3 doit être appliquée. Pour les échantillons de marchandises vendues à distance, la taille du lot dont une quantité est demandée est généralement inconnue de l’autorité compétente. Par conséquent, la procédure visée aux points 5.1 et 5.2 ne peut être utilisée. En pareil cas, la procédure décrite au point 11 est appliquée. Si la législation impose à l’exploitant du secteur de l’alimentation animale de se conformer au présent règlement dans le cadre d’un système de contrôle obligatoire, l’exploitant peut s’écarter des exigences quantitatives prévues au présent point afin de tenir compte de caractéristiques opérationnelles, à la condition qu’il ait démontré, à la satisfaction de l’autorité compétente, l’équivalence de la procédure d’échantillonnage du point de vue de la représentativité, et après avoir obtenu l’autorisation de l’autorité compétente. Dans des cas exceptionnels, s’il n’est pas possible d’appliquer la méthode d’échantillonnage décrite en ce qui concerne les exigences quantitatives, parce qu’elle entraînerait une dégradation inacceptable de la valeur commerciale du lot (à cause des formes d’emballage, des moyens de transport, du mode de stockage, etc.), un autre mode de prélèvement peut être appliqué, à condition qu’il soit aussi représentatif que possible et qu’il soit décrit en détail et bien documenté.
Taille de la portion échantillonnée | Nombre minimal d’échantillons élémentaires |
---|---|
≤ | |
> | √ ( |
Taille de la portion échantillonnée | Nombre minimal d’échantillons élémentaires |
---|---|
≤ | |
> |
Taille de la portion échantillonnée | Nombre minimal d’unités sur lesquelles (au moins) un échantillon élémentaire doit être prélevé |
---|---|
De | |
De | |
De | |
> | ¼ du √ (nombre d’unités constituant la portion échantillonnée) |
Taille de la portion échantillonnée | Nombre minimal d’échantillons élémentaires |
---|---|
≤ | |
> | √ ( |
contrôle de la présence d’aflatoxines, d’ergot de seigle, d’autres mycotoxines et impuretés botaniques nuisibles dans les matières premières des aliments pour animaux, contrôle de la contamination croisée par un constituant, y compris le matériel génétiquement modifié, ou une substance susceptibles d’être répartis non uniformément dans les aliments pour animaux.
Taille de la portion échantillonnée | Nombre minimal d’échantillons élémentaires |
---|---|
< | Voir les exigences quantitatives au point 5.1. Le nombre d’échantillons élémentaires à prélever doit être multiplié par 2,5. |
≥ |
Nature des aliments pour animaux | Taille minimale de l’échantillon global | |
---|---|---|
6.1. | Aliments en vrac | |
6.2. | Aliments emballés | |
6.3. | Aliments liquides ou semi-liquides | |
6.4. | Aliments en briques ou pierres à lécher: | |
6.4.1. | d’un poids unitaire excédant 1 kg | |
6.4.2. | d’un poids unitaire n’excédant pas 1 kg | poids de quatre briques ou pierres d’origine |
6.5. | Fourrage grossier/fourrage |
Aliments solides | |
Aliments liquides ou semi-liquides |
i) complètement homogénéisé. Ensuite, à partir de l’échantillon global homogénéisé, prélever des échantillons finals (à des fins de contrôle, de recours et éventuellement de référence) de quantité approximativement égale et conformes aux exigences quantitatives figurant au point 7; ou ii) réduit à 2 kg ou 2 litres au moins au moyen d’un diviseur mécanique ou automatique. Si la nature des aliments pour animaux ne permet pas d’utiliser un diviseur, et dans ce cas uniquement, l’échantillon peut, si nécessaire, être réduit par la méthode des quartiers. Pour le contrôle de la présence de matériel génétiquement modifié dans le cadre du règlement (UE) nSauf pour le fourrage grossier ou fourrage de faible densité relative. o 619/2011, l’échantillon réduit doit contenir au moins35000 graines/semences pour permettre d’obtenir des échantillons finals à des fins de contrôle, de recours et éventuellement de référence comportant au moins10000 graines/semences [voir la note de bas de page (**) au point 6 et la note de bas de page (*) au point 7].
Pour un échantillon de marchandises vendues à distance, demander les aliments pour animaux à l’exploitant du secteur de l’alimentation animale au moyen d’une technique de communication à distance. Dans ce cas, lorsqu’elle demande des aliments pour animaux, l’autorité compétente ne doit pas décliner son identité officielle à l’exploitant du secteur de l’alimentation animale et peut utiliser une identité d’emprunt. L’échantillon global et les échantillons finals de l’échantillon de marchandises vendues à distance doivent être prélevés dès réception de l’envoi par les personnes habilitées à cet effet. Pour former l’échantillon global, un nombre adéquat d’échantillons élémentaires doit être prélevé au hasard et uniformément réparti dans la quantité totale obtenue et soigneusement mélangée/homogénéisée, conformément, dans la mesure du possible, aux principes énoncés au point 5 et aux points 9.2 et 9.3. Si les aliments pour animaux sont emballés dans des unités individuelles, au moins 4 unités doivent être obtenues desquelles au moins un échantillon élémentaire doit être prélevé. S’il devait être constaté, au cas par cas, que les unités obtenues proviennent de lots différents, les échantillons devraient être prélevés dans un nombre d’unités réduites correspondant aux unités provenant du même lot. Lorsque l’analyse de l’échantillon de marchandises vendues à distance concerne la recherche de constituants ou de substances qui ne sont pas répartis uniformément dans les aliments pour animaux, le nombre d’échantillons élémentaires doit être au moins 2,5 fois supérieur à celui des échantillons analysés pour des substances uniformément répartie dans les aliments pour animaux. Les échantillons finals correspondants sont alors prélevés (à des fins de contrôle, de recours et éventuellement de référence) sur l’échantillon global conformément, dans la mesure du possible, aux principes énoncés au point 9.4 et le procès-verbal d’échantillonnage indique que l’échantillon est un échantillon de marchandises vendues à distance. L’autorité compétente informe alors immédiatement l’exploitant du secteur de l’alimentation animale de l’échantillonnage. L’exploitant du secteur de l’alimentation animale est aussi informé qu’un échantillon est tenu, quand c’est possible, à sa disposition par l’autorité compétente dans un endroit spécifié à des fins de recours ou qu’il est envoyé à l’exploitant du secteur de l’alimentation animale ou au laboratoire désigné par l’exploitant du secteur de l’alimentation animale conformément aux règles nationales en vigueur. Si l’échantillon est envoyé directement au laboratoire officiel, l’échantillon final doit être préparé et scellé au laboratoire par des personnes habilitées à cet effet ou en présence de personnes habilitées à cet effet. Le procès-verbal d’échantillonnage de l’échantillon de marchandises vendues à distance doit être envoyé immédiatement après la formation des échantillons finals à l’autorité compétente, qui informe l’exploitant du secteur de l’alimentation animale de l’échantillonnage. On estime que la quantité fournie par l’exploitant du secteur de l’alimentation animale à l’autorité compétente représente une partie d’un lot d’aliments pour animaux de la même catégorie ou correspondant à la même description. Conformément à l’article 15 du règlement (CE) n o 178/2002 du Parlement européen et du Conseil , si cette partie du lot est identifiée comme ne satisfaisant pas aux prescriptions de l’Union européenne, il est présumé, dans le cas d’un échantillon de marchandises vendues à distance aussi, que la totalité des aliments pour animaux de ce lot est défectueuse, sauf si une évaluation détaillée montre qu’il n’y a pas de preuve que le reste du lot ne satisfait pas aux exigences de l’Union européenne.Règlement (CE) n o 178/2002 du Parlement européen et du Conseil du28 janvier 2002 établissant les principes généraux et les prescriptions générales de la législation alimentaire, instituant l’Autorité européenne de sécurité des aliments et fixant des procédures relatives à la sécurité des denrées alimentaires (JO L 31 du 1.2.2002, p. 1 ).
Mélanger l’échantillon final et le recueillir dans un récipient approprié, propre et sec, muni d’une fermeture hermétique. Mélanger de nouveau pour garantir une homogénéisation complète, immédiatement avant de prélever la prise d’essai (aliquote de test).
Sauf indication spécifique dans les méthodes d’analyse, dessécher l’échantillon, de façon à ramener sa teneur en humidité à un niveau compris entre 8 et 12 %, en appliquant le procédé de prédessiccation décrit au point 4.3 de la méthode de dosage de l’humidité mentionnée au point A de l’annexe III. Procéder ensuite comme indiqué au point 3.1.1.
Recueillir l’échantillon final dans un récipient approprié, propre et sec, muni d’une fermeture hermétique. Mélanger soigneusement pour garantir une homogénéisation complète, immédiatement avant de prélever la prise d’essai (aliquote de test).
Si l’échantillon final ne peut être préparé selon l’un des procédés indiqués ci-dessus, appliquer tout autre procédé de préparation approprié permettant d’obtenir des prises d’essai (aliquotes de test) homogènes et représentatives des échantillons finals.
En cas d’examen visuel (sans microscope), l’échantillon global ou final est examiné dans son intégralité. En cas d’examen au microscope, le laboratoire peut réduire l’échantillon global ou réduire encore davantage l’échantillon réduit. Les échantillons finals destinés à des fins de recours et, éventuellement, à des fins de référence sont prélevés selon une procédure équivalente à la procédure appliquée pour prélever l’échantillon final destiné à des fins de contrôle. Si l’échantillon global est entièrement homogénéisé, les échantillons finals sont prélevés sur l’échantillon global homogénéisé. Pour le dosage de l’ergot de seigle et des impuretés botaniques nuisibles, l’échantillon final doit être divisé en deux sous-échantillons d’un poids égal approximatif de 500 grammes. Un sous-échantillon est examiné. Si le résultat des sous-échantillons est inférieur ou égal à 50 % (seuil analytique) de la teneur maximale, l’échantillon est conforme à la teneur maximale. Si le résultat est supérieur à 50 % de la teneur maximale, un autre sous-échantillon doit être examiné et la moyenne des résultats des deux sous-échantillons est utilisée pour vérifier la conformité avec la teneur maximale.
le résultat de l’analyse est nettement (> 50 %) inférieur ou supérieur à la spécification/mention d’étiquetage à contrôler (selon que la spécification/mention d’étiquetage est une teneur maximale ou minimale), la teneur en humidité des aliments pour animaux échantillonnés est connue et il est possible de déterminer que le correction par la teneur en humidité ne changera pas l’évaluation, et à condition que les procédures appropriées en matière de qualité aient été suivies et que l’analyse vise uniquement à contrôler si les dispositions légales sont respectées, la correction par la teneur en humidité peut alors être omise (par exemple quand il n’y a pas de spécification ou de teneur réglementaire), sauf si elle est requise pour l’interprétation des résultats.
a) corrigé au titre de la récupération, le cas échéant et s’il y a lieu, et le taux de récupération doit être indiqué. Le taux de récupération doit être indiqué, sauf si la correction intrinsèque pour biais fait partie de la procédure, le biais étant la différence entre la valeur mesurée et la concentration de référence. La correction de la récupération n’est pas nécessaire lorsque le taux de récupération est compris entre 90 et 110 %; b) sous la forme "x +/– U", où x est le résultat de l’analyse et U l’incertitude de mesure élargie, calculée à l’aide d’un facteur d’élargissement de 2 qui donne un niveau de confiance d’environ 95 %.L’intervalle de confiance de 95 % peut être atteint en utilisant un autre facteur, tel le facteur de Student.
supérieur à la teneur maximale, compte tenu de l’incertitude de mesure élargie et de la correction de la récupération. La concentration analysée (soit la moyenne de deux déterminations analytiques), corrigée au titre de la récupération et après soustraction de l’incertitude de mesure élargie, est donc utilisée pour l’évaluation de la conformité, inférieur à la teneur minimale, compte tenu de l’incertitude de mesure élargie et de la correction de la récupération. La concentration analysée (soit la moyenne de deux déterminations analytiques), corrigée au titre de la récupération et après addition de l’incertitude de mesure élargie, est donc utilisée pour l’évaluation de la conformité.
a) corrigé au titre de la récupération, le cas échéant et s’il y a lieu, et le taux de récupération doit être indiqué. Le taux de récupération doit être indiqué, sauf si la correction intrinsèque pour biais fait partie de la procédure, le biais étant la différence entre la valeur mesurée et la concentration de référence. La correction de la récupération n’est pas nécessaire lorsque le taux de récupération est compris entre 90 et 110 %; b) sous la forme "x +/– U", où x est le résultat de l’analyse (moyenne de deux déterminations analytiques) et U l’incertitude de mesure élargie, calculée à l’aide d’un facteur d’élargissement de 2 qui donne un niveau de confiance d’environ 95 %.L’intervalle de confiance de 95 % peut être atteint en utilisant un autre facteur, tel le facteur de Student.
0,4 % en valeur absolue pour les teneurs en protéines brutes inférieures à 20 %, 2,0 % par rapport au résultat le plus élevé, pour les teneurs en protéines brutes comprises entre 20 et 40 %, 0,8 % en valeur absolue pour les teneurs supérieures à 40 %.
1,8 % en valeur absolue pour les teneurs en protéines brutes inférieures à 20 %, 9,0 % par rapport au résultat le plus élevé, pour les teneurs en protéines brutes comprises entre 20 et 40 %, 3,6 % en valeur absolue pour les teneurs supérieures à 40 %.
à 420 nm 50 % du résultat supérieur pour les teneurs en urée comprises entre 3000 mg/kg et moins de5000 mg/kg,25 % du résultat supérieur pour les teneurs en urée comprises entre 5000 mg/kg et moins de7000 mg/kg,20 % du résultat supérieur pour les teneurs en urée supérieures ou égales à 7000 mg/kg;
à 435 nm 40 % du résultat supérieur pour les teneurs en urée comprises entre 3000 mg/kg et moins de5000 mg/kg,25 % du résultat supérieur pour les teneurs en urée comprises entre 5000 mg/kg et moins de9000 mg/kg,5 % du résultat supérieur pour les teneurs en urée supérieures ou égales à 9000 mg/kg.
à 420 nm 3000 mg/kg, en valeur absolue, pour les teneurs en urée comprises entre3000 mg/kg et moins de12000 mg/kg,4500 mg/kg, en valeur absolue, pour les teneurs en urée supérieures ou égales à12000 mg/kg;
à 435 nm 50 % du résultat supérieur pour les teneurs en urée comprises entre 3000 mg/kg et moins de8000 mg/kg,25 % du résultat supérieur pour les teneurs en urée supérieures ou égales à 8000 mg/kg.
MAT 2 | MAT 5 | MAT 3 | MAT 4 | MAT 6 | |
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Ovins | Bovins | Ovins | Ovins | Bovins | |
Fraction massique cible (mg kg | |||||
Fraction massique moyenne (mg kg | |||||
Écart type de reproductibilité, s | |||||
Écart type de répétabilité, s | |||||
Écart type relatif de reproductibilité, | |||||
Écart type relatif de répétabilité | |||||
MAT 2 | MAT 5 | MAT 3 | MAT 4 | MAT 6 | |
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Ovins | Bovins | Ovins | Ovins | Bovins | |
Fraction massique cible (mg kg | |||||
Fraction massique moyenne (mg kg | |||||
Écart type de reproductibilité, s | |||||
Écart type de répétabilité, s | |||||
Écart type relatif de reproductibilité, | |||||
Écart type relatif de répétabilité | |||||
la norme EN ISO 13903 "Aliments des animaux — Dosage de la teneur en acides aminés", la norme EN ISO 17180 "Aliments des animaux — Détermination de la teneur en lysine, méthionine et thréonine dans les acides aminés industriels et les pré-mélanges" ,La méthode d’analyse prévue par la norme ISO 17180 est indiquée comme méthode de remplacement à appliquer à des fins de contrôle officiel pour le dosage des acides aminés dans des aliments pour animaux contenant plus de 10 % d’acides aminés. la méthode d’analyse décrite aux points 1 à 10 ci-après.
un ballon sphérique de 100 ml (point 4.1) pour hydrolyse ouverte (point 5.3.2.3), ou un ballon sphérique de 250 ml (point 4.1) si l’on a besoin d’une faible concentration de sodium (point 5.3.3.1), ou un flacon de 100 ml à bouchon à vis (point 4.2) (pour hydrolyse fermée point 5.3.2.4).
Matériau de référence | Acide aminé | |||
---|---|---|---|---|
Thréonine | Cyst(é)ine | Méthionine | Lysine | |
Aliment composé pour porcs | ||||
Aliment composé pour poulets de chair | ||||
Concentré protéique | ||||
Prémélange | — |
Matériau de référence | Acide aminé | |||
---|---|---|---|---|
Thréonine | Cyst(é)ine | Méthionine | Lysine | |
Aliment composé pour porcs | ||||
Aliment composé pour poulets de chair | ||||
Concentré protéique | ||||
Prémélange | - |
Matériau de référence | Acide aminé | |||
---|---|---|---|---|
Thréonine | Cyst(é)ine | Méthionine | Lysine | |
Aliment composé pour porcs | ||||
Aliment composé pour poulets de chair | ||||
Concentré protéique | ||||
Prémélange | — |
6 % du résultat supérieur pour les acides aminés totaux dans le cas de la glycine, l’alanine, la lysine, la proline, l’acide glutamique, l’isoleucine et l’histidine, 8 % du résultat supérieur pour les acides aminés totaux dans le cas de la thréonine, la phénylalanine, la méthionine, l’acide aspartique et la leucine, 10 % du résultat supérieur pour les acides aminés totaux dans le cas de l’arginine et la valine, 12 % du résultat supérieur pour la sérine totale, 15 % du résultat supérieur pour la cyst(é)ine totale.
15 % du résultat supérieur pour les acides aminés totaux dans le cas de la glycine, l’alanine et la thréonine, 20 % du résultat supérieur pour les acides aminés totaux dans le cas de la lysine, la proline, la phénylalanine, la méthionine et l’acide aspartique, 22 % du résultat supérieur pour les acides aminés totaux dans le cas de l’acide glutamique et la leucine, 27 % du résultat supérieur pour l’arginine totale, 32 % du résultat supérieur pour l’isoleucine totale, 35 % du résultat supérieur pour les acides aminés totaux dans le cas de la valine et la serine, 40 % du résultat supérieur pour l’histidine totale, 50 % du résultat supérieur pour la cyst(é)ine totale.
la norme EN ISO 13904 "Aliments des animaux — Dosage du tryptophane", la méthode d’analyse décrite aux points 1 à 9 ci-après.
Colonne de chromatographie liquide (point 4.2): | 125 mm × 4 mm, C |
Température de la colonne: | température ambiante |
Phase mobile (point 3.22): | 3,00 g d’acide acétique (point 3.18) + 900 ml d’eau (point 3.1) + 50,0 ml de solution (point 3.21) de trichloro-1,1,1-méthyl-2-propanol-2 (point 3.19) dans du méthanol (point 3.8).(1 g/100 ml). Ajuster le pH à 5,00 à l’aided’éthanolamine (point 3.20). Ajuster à |
Débit: | 1 ml/min |
Temps d’élution total: | environ 34 minutes |
Longueur d’onde de détection: | (excitation: 280 nm, émission: 356 nm |
Volume d’injection: | 20 μl |
L | |||
s | |||
r [g/kg] | |||
CV | |||
S | |||
R [g/kg] | |||
CV |
Moyenne [g/kg] | ||
s | ||
r [g/kg] | ||
CV | ||
S | ||
R [g/kg] | ||
CV |
L | ||||
n | ||||
Moyenne [g/kg] | ||||
s | ||||
r [g/kg] | ||||
CV | ||||
S | ||||
R [g/kg] | ||||
CV |
Colonne de chromatographie liquide: | 125 mm × 4 mm, C | |
Température de la colonne: | 32 °C | |
Phase mobile: | A: 0,01 mol/l KH | |
B: Méthanol. | ||
Programme du gradient: | 0 min 100 % A | 0 % B |
15 min 100 % A | 0 % B | |
17 min 60 % A | 40 % B | |
19 min 60 % A | 40 % B | |
21 min 100 % A | 0 % B | |
33 min 100 % A | 0 % B | |
Débit: | 1,2 ml/min | |
Temps d’élution total: | environ 33 minutes |
0,2 %, en valeur absolue, pour les teneurs en matières grasses brutes inférieures à 5 %, 4,0 % du résultat le plus élevé pour les teneurs de 5 à 10 %, 0,4 %, en valeur absolue, pour les teneurs supérieures à 10 %.
0,6 % en valeur absolue, pour les teneurs en cellulose brute inférieures à 10 %, 6 % par rapport au résultat le plus élevé, pour les teneurs en cellulose brute égales ou supérieures à 10 %.
1,0 % en valeur absolue, pour les teneurs en cellulose brute inférieures à 10 %, 10 % par rapport au résultat le plus élevé, pour les teneurs en cellulose brute égales ou supérieures à 10 %.
ml | mg | différence | mg | différence | ml |
---|---|---|---|---|---|
ml | mg | différence | mg | différence | ml |
---|---|---|---|---|---|
16,29 g pour les saccharimètres français, 26,00 g pour les saccharimètres allemands, 20,00 g pour les saccharimètres mixtes.
sous-produits de betterave (sucrière) tels que la pulpe de betterave (sucrière), la mélasse de betterave (sucrière), la pulpe de betterave (sucrière) mélassée, la vinasse de betterave (sucrière), le sucre de betterave, pulpe d’agrumes, graines de lin; tourteau de pression de graines de lin; tourteau d’extraction de graines de lin, graine de colza; tourteau de pression de colza; tourteau d’extraction de colza; pellicules de colza, graines de tournesol; tourteau d’extraction de tournesol; tourteau d’extraction de tournesol partiellement décortiqué, tourteau de pression de coprah; tourteau d’extraction de coprah, pulpe de pommes de terre, levures déshydratées, produits riches en inuline (par exemple, cossettes et farine de topinambour), cretons, produits à base de soja. Dans ces cas, la méthode d’analyse prévue par le règlement (CE) n o 121/2008 de la Commission peut être appliqué. Cette méthode peut être utilisée pour des aliments pour animaux contenant moins de 1 % d’amidon.Règlement (CE) n o 121/2008 de la Commission du11 février 2008 définissant la méthode d’analyse pour la détermination de la teneur en amidon des préparations des types utilisés pour l’alimentation des animaux (code NC2309 ) (JO L 37 du 12.2.2008, p. 3 ).
selon la méthode d’analyse établie par la norme EN 15510 "Aliments des animaux — Méthodes d’échantillonnage et d’analyse — Détermination des teneurs en calcium, sodium, phosphore, magnésium, potassium, fer, zinc, cuivre, manganèse, cobalt, molybdène et plomb par ICP-AES" ou selon la méthode d’analyse établie par la norme EN 15621 "Aliments des animaux — Méthodes d’échantillonnage et d’analyse — Dosage du calcium, du sodium, du phosphore, du magnésium, du potassium, du soufre, du fer, du zinc, du cuivre, du manganèse et du cobalt après digestion sous pression par ICP-AES" ou selon la méthode photométrique, décrite ci-après.
3 % par rapport au résultat le plus élevé, pour les teneurs en phosphore inférieures à 5 %, 0,15 % en valeur absolue pour les teneurs en phosphore égales ou supérieures à 5 %.
selon la méthode d’analyse établie par la norme EN 17547 "Aliments des animaux — Méthodes d’échantillonnage et d’analyse — Détermination de la teneur en vitamines A, E et D — Méthode utilisant la purification par extraction en phase solide (SPE) et la chromatographie liquide à haute performance (CLHP)" ouLa méthode d’analyse établie par la norme EN 17547 est indiquée comme méthode à appliquer à des fins de contrôle officiel pour le dosage de la vitamine A et de la vitamine E en remplacement de la méthode décrite pour le dosage de la vitamine A dans la partie A de la présente annexe et de celle décrite pour le dosage de la vitamine E dans la partie B de la présente annexe. par chromatographie en phase liquide à haute performance en phase inverse (CLHP-PI) à l’aide d’un détecteur UV ou fluorimétrique, conformément aux points 1 à 9.
Colonne de chromatographie liquide (point 4.5.1): | 250 mm × 4 mm, C |
Phase mobile (point 3.9): | mélange de méthanol (point 3.3) et d’eau, par exemple 980 + 20 (v+v) |
Débit: | 1-2 ml/min |
Détecteur (point 4.5.2): | détecteur UV (325 nm) ou détecteur fluorimétrique (excitation: 325 nm/émission: 475 nm) |
à la saponification (point 5.2): en raison de la quantité de graisse présente dans l’échantillon, il peut être nécessaire d’augmenter la quantité de solution d’hydroxyde de potassium (point 3.4), à l’extraction (point 5.3): en raison de la présence d’émulsions, il peut être nécessaire d’adapter le ratio (2:1) eau/éthanol.
Prémélange | Aliment prémélangé | Concentré minéral | Concentré protéique | Aliment pour porcelets | |
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L | |||||
n | |||||
moyenne [UI/kg] | |||||
sr [UI/kg] | |||||
r [UI/kg] | |||||
CVr [%] | |||||
sR [UI/kg] | |||||
R [UI/kg] | |||||
CVR [%] |
selon la méthode d’analyse établie par la norme EN 17547 "Aliments des animaux — Méthodes d’échantillonnage et d’analyse — Détermination de la teneur en vitamines A, E et D — Méthode utilisant la purification par extraction en phase solide (SPE) et la chromatographie liquide à haute performance (CLHP)" ouLa méthode d’analyse établie par la norme EN 17547 est indiquée comme méthode à appliquer à des fins de contrôle officiel pour le dosage de la vitamine A et de la vitamine E en remplacement de la méthode décrite pour le dosage de la vitamine A dans la partie A de la présente annexe et de celle décrite pour le dosage de la vitamine E dans la partie B de la présente annexe. par chromatographie en phase liquide à haute performance en phase inverse (CLHP-PI) à l’aide d’un détecteur UV ou fluorimétrique, conformément aux points 1 à 9.
Colonne de chromatographie liquide (point 4.5.1): | 250 mm × 4 mm, C |
Phase mobile (point 3.8): | mélange de méthanol (point 3.3) et d’eau, par exemple 980 + 20 (v + v). |
Débit: | 1-2 ml/min |
Détecteur (point 4.5.2): | détecteur fluorimétrique (excitation: 295 nm/ émission: 330 nm) ou détecteur UV (292 nm) |
Prémélange | Aliment prémélangé | Concentré minéral | Concentré protéique | Aliment pour porcelets | |
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L | |||||
n | |||||
Moyenne [mg/kg] | |||||
sr [mg/kg] | |||||
r [mg/kg] | |||||
CVr [%] | |||||
sR [mg/kg] | |||||
R [mg/kg] | |||||
CVR [%] |
selon la méthode d’analyse établie par la norme EN 15510 "Aliments des animaux — Méthodes d’échantillonnage et d’analyse — Détermination des teneurs en calcium, sodium, phosphore, magnésium, potassium, fer, zinc, cuivre, manganèse, cobalt, molybdène et plomb par ICP-AES" ou selon la méthode d’analyse établie par la norme EN 15621 "Aliments des animaux — Méthodes d’échantillonnage et d’analyse — Dosage du calcium, du sodium, du phosphore, du magnésium, du potassium, du soufre, du fer, du zinc, du cuivre, du manganèse et du cobalt après digestion sous pression par ICP-AES" ou selon la méthode d’analyse établie par la norme EN 17053 "Aliments des animaux — Méthodes d’échantillonnage et d’analyse — Dosage par ICP-MS (multiméthode) des éléments traces, métaux lourds et autres éléments inorganiques présents dans les aliments" ou selon la méthode d’analyse établie par la norme EN ISO 6869 "Aliments des animaux — Détermination des teneurs en calcium, cuivre, fer, magnésium, manganèse, potassium, sodium et zinc — Méthode par spectrométrie d’absorption atomique" ou selon la méthode par spectrométrie d’absorption atomique de flamme décrite aux points 1 à 8.
fer (Fe): 20 mg/kg cuivre (Cu): 10 mg/kg manganèse (Mn): 20 mg/kg zinc (Zn): 20 mg/kg
dissoudre 1 g de cuivre en poudre dans 25 ml d’acide chlorhydrique 6 mol/l (point 3.2), ajouter 5 ml de peroxyde d’hydrogène (point 3.6) et ajuster à 1 litre avec de l’eau.
dissoudre 1 g de manganèse en poudre dans 25 ml d’acide chlorhydrique 6 mol/l (point 3.2) et ajuster à 1 litre avec de l’eau.
dissoudre 1 g de zinc en ruban ou en plaque dans 25 ml d’acide chlorhydrique 6 mol/l (point 3.2) et ajuster à 1 litre avec de l’eau.
a) Il est important, lors du dosage des oligoéléments, d’être attentif aux risques de contamination, notamment par le zinc, le cuivre et le fer. Les instruments utilisés pour la préparation des échantillons doivent par conséquent être exempts de ces métaux. Pour réduire les risques de contamination, il convient de travailler en atmosphère exempte de poussières avec un matériel rigoureusement propre et une verrerie soigneusement lavée. Le dosage du zinc est particulièrement sensible aux nombreux types de contaminations dues, par exemple, à la verrerie, aux réactifs et à la poussière. b) Calculer le poids de l’échantillon à incinérer en fonction de la teneur approximative de l’aliment en oligo-élément à doser et de la sensibilité du spectrophotomètre utilisé. Pour certains aliments pauvres en oligo-éléments, il peut être nécessaire de prélever un échantillon de 10 à 20 g et de limiter le volume de la solution finale à 100 ml. c) Incinérer dans un four fermé sans injection d’air ou d’oxygène. d) La température indiquée par le pyromètre ne peut dépasser 475 °C.
μg Fe/ml | |||||||
ml de solution étalon de travail (point 3.7.1) (1 ml = 100 μg Fe) | |||||||
ml HCl (point 3.2) | |||||||
+ 10 ml de solution de chlorure de lanthane (point 3.11); ajuster à 100 ml avec de l’eau. |
μg Cu/ml | |||||||
ml de solution étalon de travail (point 3.8.1) (1 ml = 10 μg Cu) | |||||||
ml HCl (point 3.2) |
μg Mn/ml | |||||||
ml de solution étalon de travail (point 3.9.1) (1 ml = 10 μg Mn) | |||||||
ml HCl (point 3.2) | |||||||
+ 10 ml de solution de chlorure de lanthane (point 3.11); ajuster à 100 ml avec de l’eau. |
μg Zn/ml | |||||||
ml de solution étalon de travail (point 3.10.1) (1 ml = 10 μg Zn) | |||||||
ml HCl (point 3.2) | |||||||
+ 10 ml de solution de chlorure de lanthane (point 3.11); ajuster à 100 ml avec de l’eau. |
Fe: 248,3 nm Cu: 324,8 nm Mn: 279,5 nm Zn: 213,8 nm Effectuer chaque mesure quatre fois.
5 mg/kg, en valeur absolue, pour les teneurs en oligoélément concerné allant jusqu’à 50 mg/kg, 10 % du résultat le plus élevé pour les teneurs en oligoélément comprises entre 50 et 100 mg/kg, 10 mg/kg, en valeur absolue, pour les teneurs en oligoélément concerné comprises entre 100 et 200 mg/kg, 5 % du résultat le plus élevé pour les teneurs en oligoélément concerné supérieures à 200 mg/kg.
selon la méthode d’analyse établie par la norme EN 17299 "Aliments pour animaux: méthodes d’échantillonnage et d’analyse — Recherche et dosage dans des aliments composés pour animaux des coccidiostatiques autorisés au taux d’additif et de contamination croisée à 1 % et 3 %, de coccidiostatiques non enregistrés et d’un antibiotique aux taux sub-additifs, par chromatographie en phase liquide à haute performance couplée à une détection par spectrométrie de masse en tandem (CL-SM/SM)" ou par chromatographie en phase liquide à haute performance (CLHP) en phase inverse à l’aide d’un détecteur UV, conformément aux points 1 à 8.
Colonne de chromatographie liquide (point 4.4.1). Phase mobile de la CLHP (point 3.21). Débit: 1,5 à 2 ml/min. Longueur d’onde de détection: 243 nm Volume d’injection: 40 à 100 μl.
a) les longueurs d’onde d’absorption maximale des spectres de l’échantillon et de l’étalon, enregistrées au sommet des pics sur le chromatogramme, doivent être identiques, dans une marge déterminée par le pouvoir de résolution du système de détection. Dans le cadre d’une détection par barrettes de diodes, elle est généralement d’environ 2 nm; b) entre 225 et 300 nm, les spectres de l’échantillon et de l’étalon, enregistrés au sommet des pics sur le chromatogramme, ne peuvent être différents pour les parties du spectre comprises entre 10 et 100 % d’absorbance relative. Ce critère est rempli lorsque les mêmes maxima sont présents et que l’écart observé entre les deux spectres ne dépasse nulle part 15 % de l’absorbance de l’analyte étalon; c) entre 225 et 300 nm, les spectres de la courbe ascendante, du sommet et de la courbe descendante du pic fourni par l’extrait d’échantillon ne peuvent être visuellement différents les uns des autres pour les parties du spectre comprises entre 10 et 100 % d’absorbance relative. Ce critère est rempli lorsque les mêmes maxima sont présents et que l’écart observé entre les spectres ne dépasse nulle part 15 % de l’absorbance du spectre au sommet du pic.
Échantillon B (farine) | Échantillon C (granulés) | ||||
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À la réception | Après deux mois | À la réception | Après deux mois | ||
Moyenne [mg/kg] | ND | ||||
S | — | ||||
CV | — | ||||
Réc. [%] |
selon la méthode d’analyse établie par la norme EN 17299 "Aliments pour animaux — méthodes d’échantillonnage et d’analyse — Recherche et dosage dans des aliments composés pour animaux des coccidiostatiques autorisés au taux d’additif et de contamination croisée à 1 % et 3 %, de coccidiostatiques non enregistrés et d’un antibiotique aux taux sub-additifs, par chromatographie en phase liquide à haute performance couplée à une détection par spectrométrie de masse en tandem (CL-SM/SM)" ou par chromatographie en phase liquide à haute performance (CLHP) en phase inverse à l’aide d’un détecteur UV, conformément aux points 1 à 8.
650 ml d’acétonitrile (point 3.3), 250 ml d’eau (de qualité CLHP), 50 ml de solution de dihydrogénophosphate de potassium (point 3.6), 50 ml de solution de monohydrogénophosphate disodique (point 3.7).
Colonne de chromatographie liquide (point 4.4.1). Phase mobile de la CLHP (point 3.8). Débit: 1,5 à 2 ml/minute. Longueur d’onde de détection: 317 nm. Volume d’injection: 20 à 50 μl.
a) les longueurs d’onde d’absorption maximale des spectres de l’échantillon et de l’étalon, enregistrées au sommet des pics sur le chromatogramme, doivent être identiques, dans une marge déterminée par le pouvoir de résolution du système de détection. Dans le cadre d’une détection par barrettes de diodes, elle est généralement de plus ou moins 2 nm; b) entre 250 et 400 nm, les spectres de l’échantillon et de l’étalon, enregistrés au sommet des pics sur le chromatogramme, ne peuvent être différents pour les parties du spectre comprises entre 10 et 100 % d’absorbance relative. Ce critère est rempli lorsque les mêmes maxima sont présents et que l’écart observé entre les deux spectres ne dépasse nulle part 15 % de l’absorbance de l’analyte étalon; c) entre 250 et 400 nm, les spectres de la courbe ascendante, du sommet et de la courbe descendante du pic fourni par l’extrait d’échantillon ne peuvent être visuellement différents les uns des autres pour les parties du spectre comprises entre 10 et 100 % d’absorbance relative. Ce critère est rempli lorsque les mêmes maxima sont présents et que l’écart observé entre les spectres ne dépasse nulle part 15 % de l’absorbance du spectre au sommet du pic.
Volailles | Lapins | |||
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Farine | Granulés | Farine | Granulés | |
Moyenne [mg/kg] | ||||
s | ||||
CV | ||||
S | ||||
CV | ||||
Récupération [%] |
selon la méthode d’analyse établie par la norme EN 17299 "Aliments pour animaux — méthodes d’échantillonnage et d’analyse — Recherche et dosage dans des aliments composés pour animaux des coccidiostatiques autorisés au taux d’additif et de contamination croisée à 1 % et 3 %, de coccidiostatiques non enregistrés et d’un antibiotique aux taux sub-additifs, par chromatographie en phase liquide à haute performance couplée à une détection par spectrométrie de masse en tandem (CL-SM/SM)" ou par chromatographie en phase liquide à haute performance (CLHP) à gradients ternaires et en phase inverse à l’aide d’un détecteur UV, conformément aux points 1 à 9.
Colonne de chromatographie liquide (point 4.2.1): 100 mm × 4,6 mm, remplie d’Hypersil ODS de 3 μm, ou équivalent Phase mobile: Éluant A (point 3.13.1): solution aqueuse d’acétate d’ammonium et d’hydrogénosulfate de tétrabutylammonium Éluant B (point 3.13.2): acétonitrile Éluant C (point 3.13.3): méthanol
Mode d’élution — gradient linéaire Conditions initiales: A + B + C = 60 + 20 + 20 (V + V + V) Au bout de 10 minutes, élution par gradient pendant 30 min jusqu’à: A + B + C = 45 + 20 + 35 (V + V + V) Ensuite, rincer avec B pendant 10 minutes
Débit: 1,5-2 ml/min Volume d’injection: 20 μl Longueur d’onde de détection: 280 nm
Hauteur(d,s) est la hauteur du pic de diclazuril dans la solution d’échantillon (point 5.2.1) Surface(d,s) est la surface du pic de diclazuril dans la solution d’échantillon (point 5.2.1) Hauteur(i,s) est la hauteur du pic de l’étalon interne dans la solution d’échantillon (point 5.2.1) Surface(i,s) est la surface du pic de l’étalon interne dans la solution d’échantillon (point 5.2.1) b est l’ordonnée à l’origine de la courbe d’étalonnage tracée à partir des solutions d’étalonnage (points 3.10.1, 3.10.2, 3.10.3, 3.10.4 et 3.10.5) conformément au point 5.3.2 a est la pente de la courbe d’étalonnage tracée à partir des solutions d’étalonnage (points 3.10.1, 3.10.2, 3.10.3, 3.10.4 et 3.10.5) conformément au point 5.3.2 m est la masse de la prise d’essai, en grammes V est le volume final, en millilitres, de l’extrait d’échantillon après une deuxième dissolution conformément au point 5.2.1 (soit 2,5 ml)
Hauteur(d,s) est la hauteur du pic de diclazuril dans la solution d’échantillon (point 5.2.2) Surface(d,s) est la surface du pic de diclazuril dans la solution d’échantillon (point 5.2.2) Hauteur(i,s) est la hauteur du pic de l’étalon interne dans la solution d’échantillon (point 5.2.2) Surface(i,s) est la surface du pic de l’étalon interne dans la solution d’échantillon (point 5.2.2) b est l’ordonnée à l’origine de la courbe d’étalonnage tracée à partir des solutions d’étalonnage (points 3.10.1, 3.10.2, 3.10.3, 3.10.4 et 3.10.5) conformément au point 5.3.2 a est la pente de la courbe d’étalonnage tracée à partir des solutions d’étalonnage (points 3.10.1, 3.10.2, 3.10.3, 3.10.4 et 3.10.5) conformément au point 5.3.2 m est la masse de la prise d’essai, en grammes V est le volume final, en millilitres, de l’extrait d’échantillon après une deuxième dissolution conformément au point 5.2.2 (soit 25 ml) p est la teneur nominale en diclazuril du prémélange, en mg/kg
a) les longueurs d’onde d’absorption maximale des spectres de l’échantillon et de l’étalon, enregistrées au sommet des pics sur le chromatogramme, doivent être identiques, dans une marge déterminée par le pouvoir de résolution du système de détection. Dans le cadre d’une détection par barrettes de diodes, elle est généralement de ± 2 nm; b) entre 230 et 320 nm, les spectres de l’échantillon et de l’étalon enregistrés au sommet du pic sur le chromatogramme ne doivent pas être différents pour les parties du spectre situées entre 10 et 100 % de l’absorbance relative. Ce critère est rempli lorsque les mêmes maxima sont présents et que, en aucun point, l’écart observé entre les deux spectres ne dépasse 15 % de l’absorbance de l’analyte étalon; c) entre 230 en 320 nm, les spectres de la courbe ascendante, du sommet et de la courbe descendante du pic produits par l’extrait d’échantillon ne doivent pas être différents les uns des autres pour les parties du spectre situées entre 10 et 100 % de l’absorbance relative. Ce critère est rempli lorsque les mêmes maxima sont présents et que, en aucun point, l’écart observé entre les spectres ne dépasse 15 % de l’absorbance du spectre au sommet du pic.
30 % du résultat supérieur pour les teneurs en diclazuril comprises entre 0,5 et 2,5 mg/kg, 0,75 mg/kg pour les teneurs en diclazuril comprises entre 2,5 et 5 mg/kg, 15 % du résultat supérieur pour les teneurs en diclazuril supérieures à 5 mg/kg.
Échantillon 1A 100 | Échantillon 2O 100 | Échantillon 3 L1 | Échantillon 4 Z1 | Échantillon 5 K1 | ||||
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L | ||||||||
n | ||||||||
Moyenne (mg/kg) | < LQ | |||||||
S | — | |||||||
CV | — | |||||||
S | — | |||||||
CV | — | |||||||
Teneur nominale (mg/kg) | — | |||||||
Référence | 1 | 1 | 1 | 1 | 1 | 2 | 2 | 2 |
selon la méthode d’analyse établie par la norme EN 17299 "Aliments pour animaux — méthodes d’échantillonnage et d’analyse — Recherche et dosage dans des aliments composés pour animaux des coccidiostatiques autorisés au taux d’additif et de contamination croisée à 1 % et 3 %, de coccidiostatiques non enregistrés et d’un antibiotique aux taux sub-additifs, par chromatographie en phase liquide à haute performance couplée à une détection par spectrométrie de masse en tandem (CL-SM/SM)" ou par chromatographie en phase liquide à haute performance (CLHP) en phase inverse à l’aide d’un détecteur spectrofluorométrique (spectrométrie de fluorescence), conformément aux points 1 à 8.
Colonne de chromatographie liquide (point 4.3.1): | 125 mm × 4 mm, en phase inverse, C |
Phase mobile (point 3.9): | Mélange de solution tampon dephosphate (point 3.7) et de méthanol (point 3.5), 5 + 95 (V+V) |
Débit: | |
Longueurs d’onde de détection: | Sollicitation: 310 nm |
Émission: 419 nm | |
Volume d’injection: |
15 % du résultat supérieur pour les teneurs en lasalocide-sodium comprises entre 30 mg/kg et 100 mg/kg, 15 mg/kg pour les teneurs en lasalocide-sodium comprises entre 100 mg/kg et 200 mg/kg, 7,5 % du résultat supérieur pour les teneurs en lasalocide-sodium supérieures à 200 mg/kg.
L | |||||||
n | |||||||
Moyenne [mg/kg] | |||||||
s | |||||||
CV | |||||||
s | |||||||
CV | |||||||
Teneur nominale [mg/kg] |
Colonne de chromatographie liquide (point 4.1.1): | 125 mm x 4 mm avec échange de cations avec Nucleosil 10 SA, 5 ou 10 μm, ou équivalent |
Phase mobile (point 3.6): | Mélange d’acétonitrile (point 3.2), de solution de phosphate monosodique (point 3.4) et de solution de perchlorate de sodium (point 3.5), 450 + 450 + 100 (v + v + v) |
Débit: | |
Longueur d’onde de détection: | |
Volume d’injection: |
a) les longueurs d’onde d’absorption maximale des spectres de l’échantillon et de l’étalon, enregistrées au sommet des pics sur le chromatogramme, doivent être identiques, dans une marge déterminée par le pouvoir de résolution du système de détection. Dans le cadre d’une détection par barrettes de diodes, elle est généralement de ± 2 nm; b) entre 210 et 320 nm, les spectres de l’échantillon et de l’étalon enregistrés au sommet du pic sur le chromatogramme ne doivent pas être différents pour les parties du spectre situées entre 10 et 100 % de l’absorbance relative. Ce critère est rempli lorsque les mêmes maxima sont présents et que, en aucun point, l’écart observé entre les deux spectres ne dépasse 15 % de l’absorbance de l’analyte étalon; c) entre 210 et 320 nm, les spectres de la courbe ascendante, du sommet et de la courbe descendante du pic produits par l’extrait d’échantillon ne doivent pas être différents les uns des autres pour les parties du spectre situées entre 10 et 100 % de l’absorbance relative. Ce critère est rempli lorsque les mêmes maxima sont présents et que, en aucun point, l’écart observé entre les spectres ne dépasse 15 % de l’absorbance du spectre au sommet du pic.
15 % du résultat supérieur pour les teneurs en amprolium comprises entre 25 et 500 mg/kg, 75 mg/kg pour les teneurs en amprolium comprises entre 500 et 1000 mg/kg,7,5 % du résultat supérieur pour les teneurs en amprolium supérieures à 1000 mg/kg.
Échantillon 1 (aliment blanc) | Échantillon 2 | Échantillon 3 | Échantillon 4 | Échantillon 5 | |
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L | |||||
n | |||||
Moyenne [mg/kg] | — | ||||
s | — | ||||
CVr [%] | — | ||||
s | — | ||||
CV | — | ||||
Teneur nominale [mg/kg] | — |
selon la méthode d’analyse établie par la norme EN 17299 "Aliments pour animaux: méthodes d’échantillonnage et d’analyse — Recherche et dosage dans des aliments composés pour animaux des coccidiostatiques autorisés au taux d’additif et de contamination croisée à 1 % et 3 %, de coccidiostatiques non enregistrés et d’un antibiotique aux taux sub-additifs, par chromatographie en phase liquide à haute performance couplée à une détection par spectrométrie de masse en tandem (CL-SM/SM)" ou selon la méthode établie par la norme EN ISO 14183 "Aliments des animaux — Détermination des teneurs en monensine, narasine et salinomycine — Méthode par chromatographie liquide utilisant la dérivatisation post-colonne".
selon la méthode d’analyse établie par la norme EN 17299 "Aliments pour animaux: méthodes d’échantillonnage et d’analyse — Recherche et dosage dans des aliments composés pour animaux des coccidiostatiques autorisés au taux d’additif et de contamination croisée à 1 % et 3 %, de coccidiostatiques non enregistrés et d’un antibiotique aux taux sub-additifs, par chromatographie en phase liquide à haute performance couplée à une détection par spectrométrie de masse en tandem (CL-SM/SM)" ou selon la méthode établie par la norme EN 15782 "Aliments des animaux — Détermination de la nicarbazine — Méthode de chromatographie liquide hautes performances".
selon la méthode d’analyse établie par la norme EN 17299 "Aliments pour animaux: méthodes d’échantillonnage et d’analyse — Recherche et dosage dans des aliments composés pour animaux des coccidiostatiques autorisés au taux d’additif et de contamination croisée à 1 % et 3 %, de coccidiostatiques non enregistrés et d’un antibiotique aux taux sub-additifs, par chromatographie en phase liquide à haute performance couplée à une détection par spectrométrie de masse en tandem (CL-SM/SM)" ou selon la méthode établie par la norme EN 16162 "Aliments des animaux — Dosage du décoquinate par chromatographie liquide à haute performance (CLHP) avec détection par fluorescence".
selon la méthode d’analyse établie par la norme EN 17299 "Aliments pour animaux: méthodes d’échantillonnage et d’analyse — Recherche et dosage dans des aliments composés pour animaux des coccidiostatiques autorisés au taux d’additif et de contamination croisée à 1 % et 3 %, de coccidiostatiques non enregistrés et d’un antibiotique aux taux sub-additifs, par chromatographie en phase liquide à haute performance couplée à une détection par spectrométrie de masse en tandem (CL-SM/SM)" ou selon la méthode établie par la norme EN ISO 14183 "Aliments des animaux — Détermination des teneurs en monensine, narasine et salinomycine — Méthode par chromatographie liquide utilisant la dérivatisation post-colonne".
selon la méthode d’analyse établie par la norme EN 17299 "Aliments pour animaux: méthodes d’échantillonnage et d’analyse — Recherche et dosage dans des aliments composés pour animaux des coccidiostatiques autorisés au taux d’additif et de contamination croisée à 1 % et 3 %, de coccidiostatiques non enregistrés et d’un antibiotique aux taux sub-additifs, par chromatographie en phase liquide à haute performance couplée à une détection par spectrométrie de masse en tandem (CL-SM/SM)" ou selon la méthode établie par la norme EN ISO 14183 "Aliments des animaux — Détermination des teneurs en monensine, narasine et salinomycine — Méthode par chromatographie liquide utilisant la dérivatisation post-colonne".
selon la méthode d’analyse établie par la norme EN 17299 "Aliments pour animaux: méthodes d’échantillonnage et d’analyse — Recherche et dosage dans des aliments composés pour animaux des coccidiostatiques autorisés au taux d’additif et de contamination croisée à 1 % et 3 %, de coccidiostatiques non enregistrés et d’un antibiotique aux taux sub-additifs, par chromatographie en phase liquide à haute performance couplée à une détection par spectrométrie de masse en tandem (CL-SM/SM)" ou selon la méthode établie par la norme EN ISO 16158 "Aliments des animaux — Dosage de la semduramicine — Chromatographie liquide utilisant une approche analytique en arbre".
EN ISO 30024 "Aliments des animaux — Détermination de l’activité phytasique" EN 17050 "Aliments des animaux — Méthodes d’échantillonnage et d’analyse — Dosage de l’iode dans les aliments pour animaux par spectrométrie de masse à plasma induit par haute fréquence (ICP-MS)" EN 17550 "Aliments des animaux — Méthodes d’échantillonnage et d’analyse — Détermination de la teneur en caroténoïdes des aliments composés et des prémélanges pour animaux par chromatographie liquide à haute performance couplée à une détection UV (CLHP-UV)" EN 15784 "Aliments des animaux: méthodes d’échantillonnage et d’analyse — Détection et dénombrement des souches de Bacillus spp. utilisées comme additifs pour l’alimentation animale"EN 15785 "Aliments des animaux — Méthodes d’échantillonnage et d’analyse — Isolement et dénombrement du Bifidobacterium spp."EN 15786 "Aliments des animaux: méthodes d’échantillonnage et d’analyse — Détection et dénombrement des souches de Pediococcus spp. utilisées comme additifs pour l’alimentation animale"EN 15787 "Aliments des animaux: méthodes d’échantillonnage et d’analyse — Détection et dénombrement des souches de Lactobacillus spp. utilisées comme additifs pour l’alimentation animale"EN 15788 "Aliments des animaux: méthodes d’échantillonnage et d’analyse — Détection et dénombrement des souches de Enterococcus (E. faecium ) spp. utilisées comme additifs pour l’alimentation animale"EN 15789 "Aliments des animaux: méthodes d’échantillonnage et d’analyse — Détection et dénombrement des souches de Saccharomyces cerevisiae utilisées comme additifs pour l’alimentation animale"EN 15510 "Aliments des animaux — Méthodes d’échantillonnage et d’analyse — Détermination des teneurs en calcium, sodium, phosphore, magnésium, potassium, fer, zinc, cuivre, manganèse, cobalt, molybdène et plomb par ICP-AES" (pour l’analyse du cobalt et du molybdène en tant qu’additifs pour l’alimentation animale) EN 15621 "Aliments pour animaux: méthodes d’échantillonnage et d’analyse — Dosage du calcium, du sodium, du phosphore, du magnésium, du potassium, du soufre, du fer, du zinc, du cuivre, du manganèse et du cobalt après digestion sous pression par ICP-AES" (pour l’analyse du cobalt en tant qu’additif pour l’alimentation animale) EN 16159 "Aliments pour animaux — Dosage du sélénium par spectrométrie d’absorption atomique par génération d’hydrures (SAAGH) après digestion par micro-ondes (extraction avec de l’acide nitrique à 65 % et du peroxyde d’hydrogène à 30 %)" (pour l’analyse du sélénium en tant qu’additif pour l’alimentation animale) EN 17053 "Aliments pour animaux — Méthodes d’échantillonnage et d’analyse — Dosage par ICP-MS (multiméthode) des éléments traces, métaux lourds et autres éléments inorganiques présents dans les aliments" (pour l’analyse du cobalt, du molybdène et du sélénium en tant qu’additifs pour l’alimentation animale).
Congénère | Valeur TEF | Congénère | Valeur TEF |
---|---|---|---|
Dibenzo-p-dioxines ("PCDD") et Dibenzo-p-furanes ("PCDF") | |||
2,3,7,8-TCDD | |||
1,2,3,7,8-PeCDD | PCB non ortho | ||
1,2,3,4,7,8-HxCDD | PCB 77 | ||
1,2,3,6,7,8-HxCDD | PCB 81 | ||
1,2,3,7,8,9-HxCDD | PCB 126 | ||
1,2,3,4,6,7,8-HpCDD | PCB 169 | ||
OCDD | PCB mono ortho | ||
2,3,7,8-TCDF | PCB 105 | ||
1,2,3,7,8-PeCDF | PCB 114 | ||
2,3,4,7,8-PeCDF | PCB 118 | ||
1,2,3,4,7,8-HxCDF | PCB 123 | ||
1,2,3,6,7,8-HxCDF | PCB 156 | ||
1,2,3,7,8,9-HxCDF | PCB 157 | ||
2,3,4,6,7,8-HxCDF | PCB 167 | ||
1,2,3,4,6,7,8-HpCDF | PCB 189 | ||
1,2,3,4,7,8,9-HpCDF | |||
OCDF |
"méthodes de dépistage": méthodes servant à sélectionner les échantillons dont les teneurs en PCDD, PCDF et PCB de type dioxine dépassent les teneurs maximales ou les seuils d’intervention. Elles offrent une grande capacité de traitement d’échantillons à la fois efficace et économique et augmentent la probabilité de découvrir de nouveaux cas d’exposition élevée susceptibles de mettre la santé des consommateurs en péril. Les méthodes de dépistage sont fondées sur des méthodes de bioanalyse ou sur des méthodes CG-SM. Les résultats des échantillons dépassant la valeur seuil utilisée aux fins du contrôle du respect de la teneur maximale, sont vérifiés; à cette fin, l’échantillon initial est soumis à une nouvelle analyse complète, réalisée au moyen d’une méthode de confirmation; "méthodes de confirmation": méthodes qui fournissent des informations complètes ou complémentaires permettant l’identification et la quantification univoque des PCDD, PCDF et des PCB de type dioxine à la teneur maximale ou, en cas de besoin, au seuil d’intervention. Ces méthodes recourent à la chromatographie en phase gazeuse couplée à la spectrométrie de masse haute résolution (CG-SMHR) ou à la chromatographie en phase gazeuse couplée à la spectrométrie de masse en tandem (CG-SM/SM).
effectuée selon une méthode de dépistage avec un taux de faux conformes inférieur à 5 %, indique que la teneur ne dépasse pas les limites maximales respectives fixées pour les PCDD/PCDF et la somme des PCDD/PCDF et des PCB de type dioxine dans la directive 2002/32/CE, effectuée selon une méthode de confirmation, ne dépasse pas les teneurs maximales respectives fixées pour les PCDD/PCDF et la somme des PCDD/PCDF et des PCB de type dioxine dans la directive 2002/32/CE, compte tenu de l’incertitude de mesure élargie.
a) la concentration d’un analyte dans l’extrait d’un échantillon qui produit une réponse instrumentale à deux ions suivis avec un rapport S/B (signal/bruit) de 3:1 pour le signal de données brut le moins intense; ou b) si, pour des raisons techniques, le calcul du rapport signal/bruit ne donne pas des résultats fiables, le point de concentration minimal sur une courbe d’étalonnage qui donne un écart acceptable (≤ 30 %) et cohérent (mesuré au moins au début et à la fin d’une série analytique d’échantillons) par rapport au facteur de réponse relatif moyen calculé pour tous les points de la courbe d’étalonnage de chaque série d’échantillons. La limite de quantification est calculée à partir du point de concentration le plus bas, compte tenu du taux de récupération des étalons internes et du prélèvement d’échantillons.
Dépistage au moyen de méthodes de bioanalyse ou de méthodes physico-chimiques | Méthodes de confirmation | |
---|---|---|
Taux de faux conformes | < | |
Justesse | De | |
Répétabilité (RSD | < | |
Fidélité intermédiaire (RSD | < | < |
Les PCDD/PCDF sont séparés des composés chlorés interférents, tels que les PCB autres que ceux de type dioxine et les diphényléthers chlorés, au moyen de techniques chromatographiques appropriées (de préférence au moyen d’une colonne de florisil, d’alumine et/ou de charbon). La séparation des isomères par chromatographie en phase gazeuse est inférieure à 25 % de pic à pic entre 1,2,3,4,7,8-HxCDF et 1,2,3,6,7,8-HxCDF.
CG-SMHR: En SMHR, la résolution caractéristique doit être égale ou supérieure à 10000 pour toute la plage de masse avec une vallée de 10 %.Les autres critères d’identification et de confirmation sont remplis conformément à des normes internationalement reconnues, telles que la norme EN 16215:2012 (Aliments des animaux — Dosage des dioxines, des PCB de type dioxine et des PCB indicateurs par GC-HRMS) et/ou les méthodes EPA 1613 et 1668 révisées.
CG-SM/SM: Il s’agit de suivre au moins deux ions précurseurs spécifiques et, pour chacun d’eux, un ion de fragmentation spécifique produit pour tous les analytes marqués et non marqués dans le champ d’application de l’analyse. La tolérance autorisée maximale des intensités relatives des ions est de ± 15 % pour les ions de fragmentation sélectionnés par rapport aux valeurs calculées ou mesurées (moyenne des étalons), dans des conditions SM/SM identiques (notamment en ce qui concerne l’énergie de collision et la pression du gaz de collision), pour chaque transition d’un analyte. La résolution de chaque quadrupôle doit être égale ou supérieure à la résolution massique unitaire (résolution massique unitaire: résolution suffisante pour séparer deux pics d’une unité massique) de manière à minimiser les éventuelles interférences avec les analytes considérés. Les autres critères sont remplis conformément à des normes internationalement reconnues, telles que la norme EN 16215:2012 (Aliments des animaux — Dosage des dioxines, des PCB de type dioxine et des PCB indicateurs par GC-HRMS) et/ou les méthodes EPA 1613 et 1668 révisées, sauf pour ce qui concerne l’obligation de recourir à la GC-HRMS.
Le calcul des concentrations à partir d’une courbe d’étalonnage de la TCDD fera apparaître une variation importante (coefficient de variation élevé — CV) des valeurs à l’extrémité supérieure de la courbe. La plage de travail est la zone où ce CV est inférieur à 15 %. L’extrémité inférieure de la plage de travail (seuil d’inscription) doit par ailleurs être établie à un niveau supérieur d’un facteur de trois au moins aux blancs de procédure. L’extrémité supérieure de la plage de travail est habituellement représentée par la valeur EC 70 (70 % de la concentration effective maximale), mais elle se situe à un niveau inférieur si le CV est supérieur à 15 % dans cette plage. La plage de travail est établie pendant la validation. Les valeurs seuil (point 7.3) doivent se situer dans la plage de travail.Les solutions étalon et les extraits d’échantillon doivent être analysés en triple ou au moins en double. En cas d’utilisation de doublets, une solution étalon ou un extrait témoin analysé dans quatre à six puits répartis sur la plaque produisent une réponse ou une concentration (possible uniquement dans la plage de travail) sur la base d’un CV inférieur à 15 %.
Les teneurs dans les échantillons doivent être estimées par comparaison de la réponse à l’essai avec une courbe d’étalonnage de la TCDD (ou du PCB 126 ou d’un mélange type de PCDD/PCDF/PCB de type dioxine) pour calculer la valeur BEQ dans l’extrait et, par la suite, dans l’échantillon. Les courbes d’étalonnage doivent contenir de huit à douze concentrations (au moins en double), la concentration dans la partie inférieure de la courbe (plage de travail) devant être suffisante. Une attention particulière doit être accordée à la qualité de l’ajustement de la courbe dans la plage de travail. La valeur R 2 a peu ou n’a pas de valeur en tant que telle pour l’appréciation de la justesse de l’ajustement en régression non linéaire. La réduction de l’écart entre les valeurs calculées et les valeurs observées dans la plage de travail de la courbe améliorera l’ajustement (la réduction de la somme des résidus au carré, par exemple).Le niveau estimatif dans l’extrait d’échantillon doit ensuite être corrigé de la valeur BEQ calculée pour un échantillon blanc de matrice/de solvant (pour tenir compte des impuretés provenant des solvants et substances chimiques utilisés) et du taux de récupération apparent (calculé à partir de la valeur BEQ d’échantillons de référence adéquats avec des profils de congénères représentatifs proches de la teneur maximale ou du seuil d’intervention). Pour la correction par le taux de récupération, le taux de récupération apparent doit se situer dans les limites de la plage requise (voir le point 7.1.4). Les échantillons de référence utilisés pour corriger du taux de récupération doivent respecter les prescriptions énoncées au point 7.2.
1) à partir de la plage inférieure de l’intervalle de prédiction de 95 % à la limite de décision de la méthode de confirmation;2) à partir de l’analyse multiple d’échantillons (n ≥ 6) contaminés à hauteur de la limite de décision de la méthode de confirmation en tant qu’extrémité inférieure de la répartition des données (représentée dans le graphique par une courbe en cloche) à la valeur BEQ moyenne correspondante.
a) deux ions spécifiques pour la SMHR; b) trois ions spécifiques pour la SMBR; c) deux ions précurseurs spécifiques et, pour chacun d’eux, un ion de fragmentation spécifique produit pour la SM-SM.
a) les résultats doivent être corrigés des taux de récupération des étalons internes; b) les taux de récupération des étalons internes marqués d’un isotope doivent se situer entre 60 et 120 %; c) les taux de récupération inférieurs ou supérieurs pour les congénères individuels avec une contribution à la somme des PCB autres que ceux de type dioxine inférieure à 10 % sont acceptables.
a) le taux de récupération du ou des étalons internes doit être mesuré pour chaque échantillon; b) les taux de récupération du ou des étalons internes doivent se situer entre 60 et 120 %; c) les résultats doivent être corrigés des taux de récupération des étalons internes.
Spectrométrie de masse par dilution isotopique | Autres techniques | |
---|---|---|
Justesse | De – | De – |
Fidélité intermédiaire (RSD %) | ≤ | ≤ |
Différence entre l’estimation supérieure et l’estimation inférieure | ≤ | ≤ |
EN 17194 "Aliments pour animaux: méthodes d’échantillonnage et d’analyse — Détermination du déoxynivalénol, de l’aflatoxine B1, de la fumonisine B1 et B2, des toxines T-2 et HT-2, de la zéaralénone et de l’ochratoxine A dans les matières premières pour aliments et les aliments composés pour animaux par CL-SM/SM" EN 17270 "Aliments pour animaux: méthodes d’échantillonnage et d’analyse — Détermination par chromatographie en phase liquide de la teneur en théobromine dans les matières premières destinées aux aliments des animaux et dans les aliments composés pour animaux, y compris les ingrédients issus du cacao" EN 17504 "Aliments des animaux — Méthodes d’échantillonnage et d’analyse — Dosage du gossypol dans les graines de coton et les aliments pour animaux par CL-SM/SM" EN 17362 "Aliments pour animaux: méthodes d’échantillonnage et d’analyse — Détermination de la teneur en pentaclorophénol (PCP) dans les matières premières pour aliments des animaux et les aliments composés pour animaux par CL-SM/SM" EN 16279 "Aliments des animaux — Détermination de la teneur en fluorure, après traitement à l’acide chlorhydrique, selon la méthode utilisant une électrode sélective d’ions (ISE)" EN 17053 "Aliments des animaux — Méthodes d’échantillonnage et d’analyse — Dosage par ICP-MS (multiméthode) des éléments traces, métaux lourds et autres éléments inorganiques présents dans les aliments" En 15550 "Aliments des animaux — Méthodes d’échantillonnage et d’analyse — Dosage du cadmium et du plomb par spectrométrie d’absorption atomique à l’aide d’un four graphite après minéralisation sous pression" EN 16206 "Aliments pour animaux — Dosage de l’arsenic par spectrométrie d’absorption atomique par génération d’hydrures (SAAGH) après digestion sous pression par micro-ondes (digestion à l’acide nitrique à 65 % et au peroxyde d’hydrogène à 30 %)" EN 16277 "Aliments des animaux — Dosage du mercure par spectrométrie d’absorption atomique à vapeur froide (SAAVF) après digestion sous pression par micro-ondes (extraction avec de l’acide nitrique à 65 % et du peroxyde d’hydrogène à 30 %)" En 16278 "Aliments des animaux — Dosage de l’arsenic inorganique par spectrométrie d’absorption atomique par génération d’hydrures (SAA-GH) après extraction par micro-ondes" EN 17374 "Aliments des animaux — Méthodes d’échantillonnage et d’analyse — Détermination de la teneur en arsenic inorganique dans les aliments pour animaux, par CLHP avec échange d’anions et spectrométrie de masse à plasma induit par haute fréquence (ICP-SM)"
a) pour la détection des constituants d’origine animale provenant d’animaux autres que les invertébrés terrestres, une étape de sédimentation unique dans du tétrachloréthylène (TCE), comme indiqué au point 2.1.3.4.3; b) pour la détection des constituants d’invertébrés terrestres, une étape de double sédimentation dans de l’éther de pétrole et du tétrachloréthylène (EP/TCE), comme indiqué au point 2.1.3.4.4.
Tétrachloréthylène (densité relative 1,62). Éther de pétrole (EP) point d’ébullition: 40-60 °C (densité relative: 0,65).
Solution de rouge d’alizarine (diluer 2,5 ml d’acide chlorhydrique 1 M dans 100 ml d’eau et ajouter 200 mg de rouge d’alizarine à cette solution).
Lessive de soude et de potasse (NaOH à 2,5 % p/v ou KOH à 2,5 % p/v). Glycérol (non dilué, viscosité: 1490 cP) ou un milieu de montage ayant des propriétés équivalentes pour la préparation de lames non permanentes.Norland ® Adhésive optique 65 (viscosité: 1200 cP) ou un milieu de montage ayant des propriétés équivalentes pour la préparation de lames non permanentes.
Solution de lugol (dissoudre 2 g d’iodure de potassium dans 100 ml d’eau et ajouter 1 g d’iode en agitant fréquemment). Réactif cystinique (2 g d’acétate de plomb, 10 g NaOH/100 ml d’eau). Liqueur de Fehling [préparée avant l’utilisation à partir de parts égales (1/1) de deux solutions-mères A et B. Solution A: dissoudre 6,9 g de sulfate de cuivre (II) pentahydraté dans 100 ml d’eau. Solution B: dissoudre 34,6 g de tartrate double de sodium et de potassium tétrahydraté et 12 g de NaOH dans 100 ml d’eau]. Tétraméthylbenzidine/peroxyde d’hydrogène [dissoudre 1 g de 3,3’, 5,5’ tétraméthylbenzidine (TMB) dans 100 ml d’acide acétique glacial et 150 ml d’eau. Avant l’utilisation, mélanger 4 parts de cette solution de TMB avec 1 part de peroxyde d’hydrogène à 3 %].
Éthanol ≥ 96 % (qualité technique). Acétone (qualité technique).
Solution commerciale d’hypochlorite de sodium (9-14 % de chlore actif).
Balance de précision à 0,001 g. Équipement de broyage: broyeur à couteaux ou à rotors. Si un broyeur à rotors est utilisé, les tamis pour broyeur ≤ 0,5 mm sont interdits. Tamis à mailles carrées de 0,25 mm et 1 mm de largeur. À l’exception du prétamisage des échantillons, le diamètre des tamis ne doit pas dépasser 10 cm pour éviter la perte de matières. L’étalonnage des tamis n’est pas requis. Ampoule à décanter conique en verre d’une capacité de 250 ml munie d’un robinet en téflon ou en verre rodé à la base du cône. Le diamètre de l’ouverture du robinet doit être supérieur ou égal à 4 mm. Pour la sédimentation unique TCE uniquement, un bécher de décantation à fond conique peut également être utilisé, à condition que le laboratoire ait démontré que les niveaux de détection sont équivalents à ceux obtenus en utilisant l’ampoule à décanter conique en verre. Ampoule à décanter Microscope stéréoscopique couvrant une plage de grossissement final allant de 6,5 à 40 fois au minimum. Microscope composé à fond clair par éclairage à transmission couvrant une plage de grossissement final allant de 100 à 400 fois au minimum. Un microscope en lumière polarisée, à contraste interférentiel différentiel peut également être utilisé. Verrerie courante de laboratoire. Matériel pour la préparation sur lame: lames de microscope classiques, lames creuses, lamelles (20 × 20 mm), brucelles, spatule fine. Étuve de laboratoire. Centrifugeuse. Papier filtre: filtre qualitatif en cellulose (taille des pores: 4-11 μm).
S’il s’agit de graisse solide, chauffer celle-ci dans un four jusqu’à ce qu’elle devienne liquide. Au moyen d’une pipette, transvaser 40 ml de graisse du fond de l’échantillon dans un tube de centrifugation. L’échantillon doit être centrifugé pendant 10 minutes à 4000 tours/min.Si la graisse s’est solidifiée pendant la centrifugation, la réchauffer au four jusqu’à ce qu’elle redevienne liquide. La centrifugation doit être répétée pendant 5 minutes à 4000 tours/min.À l’aide d’une petite cuillère ou d’une spatule, transvaser une moitié des impuretés obtenues sur des lames microscopiques pour examen. Il est recommandé d’utiliser du glycérol comme milieu de montage. Utiliser les impuretés restantes pour la préparation du résidu, comme décrit au point 2.1.3.4.3, premier tiret.
Extraction et préparation du résidu: Transvaser une portion de 10 g (exactitude de 0,01 g) du sous-échantillon broyé dans l’ampoule à décanter ou le bécher de décantation à fond conique et ajouter 50 ml de tétrachloréthylène. La portion transvasée dans l’ampoule est limitée à 3 g dans le cas des farines de poissons ou d’autres produits d’origine animale purs, d’ingrédients minéraux ou de prémélanges générant plus de 10 % de résidu. Agiter vigoureusement le mélange pendant au moins 30 secondes et ajouter avec précaution 50 ml de tétrachloréthylène en lavant la surface intérieure de l’ampoule pour éliminer les particules adhérentes. Laisser le mélange obtenu se décanter pendant au moins 5 minutes avant de séparer le résidu en ouvrant le robinet. Si un bécher de décantation à fond conique est utilisé, agiter vigoureusement le mélange pendant au moins 15 secondes et laver soigneusement la surface intérieure avec au moins 10 ml de tétrachloréthylène propre pour éliminer les particules adhérant aux parois du bécher. Laisser le mélange se décanter pendant 3 minutes et agiter à nouveau pendant 15 secondes puis laver soigneusement la surface intérieure avec au moins 10 ml de tétrachloréthylène propre pour éliminer les particules adhérant aux parois du bécher. Laisser le mélange obtenu se décanter pendant au moins 5 minutes puis retirer la fraction liquide, l’éliminer en la laissant soigneusement se décanter et en prenant soin de ne rien perdre du résidu. Le résidu doit être recueilli sur du papier-filtre placé dans un entonnoir afin de permettre la séparation du tétrachloréthylène restant tout en évitant le dépôt de matières grasses dans le résidu. Le résidu doit être séché. Il est recommandé de peser ensuite le résidu (avec une exactitude de 0,001 g) pour contrôler l’étape de sédimentation. Enfin, le résidu doit être passé à travers un tamis à mailles de 0,25 mm et les deux fractions obtenues doivent être examinées, sauf si le tamisage n’est pas jugé nécessaire. Extraction et préparation des matières flottantes: Après récupération du résidu au moyen de la méthode décrite ci-dessus, deux phases restent dans l’ampoule à décanter: une phase liquide constituée de tétrachloréthylène et une phase solide constituée de matières flottantes. Cette phase solide (les matières flottantes) est récupérée par le versement complet du tétrachloréthylène hors de l’ampoule en ouvrant le robinet. L’ampoule à décanter doit être retournée, et les matières flottantes doivent être transvasées dans une grande boîte de Pétri et séchées à l’air dans une hotte de laboratoire. Elle est tamisée à 0,25 mm et les deux fractions qui en résultent sont examinées. Utilisation de réactifs de coloration Pour faciliter l’identification correcte des constituants d’origine animale, l’opérateur peut utiliser des réactifs de coloration au cours de la préparation de l’échantillon, conformément aux orientations formulées par le laboratoire de référence de l’Union européenne pour la détection de protéines animales dans les aliments pour animaux et publiées sur son site web. Si la solution de rouge d’alizarine est utilisée pour la coloration du résidu, le protocole suivant doit être appliqué: Transvaser le résidu séché dans une éprouvette en verre et le rincer deux fois avec environ 5 ml d’éthanol (agiter chaque fois au vortex pendant 30 secondes, laisser le solvant se décanter pendant environ 1 minute 30 secondes puis l’éliminer). Blanchir le résidu avec au moins 1 ml de solution d’hypochlorite de sodium. Laisser réagir pendant 10 minutes; remplir l’éprouvette d’eau, laisser le résidu se décanter pendant 2 à 3 minutes puis éliminer doucement l’eau et les particules en suspension. Rincer deux fois le résidu avec environ 10 ml d’eau (agiter au vortex pendant 30 secondes, laisser se décanter et, chaque fois, éliminer l’eau). Ajouter 2 à 10 gouttes de solution de rouge d’alizarine et agiter le mélange au vortex. Laisser réagir pendant 30 secondes et rincer deux fois le résidu coloré avec environ 5 ml d’éthanol, puis une nouvelle fois avec de l’acétone (agiter chaque fois au vortex pendant 30 secondes, laisser le solvant se décanter environ une minute puis l’éliminer). Sécher le résidu coloré.
Une portion de 10 g (précision à 0,01 g) du sous-échantillon broyé est transférée dans l’ampoule à décanter et soumise d’abord à une sédimentation unique TCE, comme décrit au point 2.1.3.4.3, avec récupération du résidu sur un papier-filtre placé sur un entonnoir. Ce résidu peut être utilisé comme indiqué au point 2.1.3.4.3. Le petit volume de TCE qui s’est écoulé avec le résidu doit être transféré dans une éprouvette graduée. En ouvrant le robinet de l’ampoule à décanter, remplir l’éprouvette graduée jusqu’à obtention de 30 ml de TCE. Une fois ce volume atteint, le robinet d’arrêt est fermé. Ce volume de TCE collecté est remplacé en ajoutant un volume de 30 ml d’éther de pétrole dont le point d’ébullition est compris entre 40 °C et 60 °C dans l’ampoule à décanter. Le contenu de l’ampoule à décanter doit être soigneusement mélangé pour obtenir un mélange 30 % EP/70 % TCE (avec une densité d’environ 1,26 g.cm -3 ). Laisser reposer la matière pendant 10 min. Deux nouvelles fractions se formeront: un deuxième résidu et les matières flottantes finales (< 1,26 g.cm-3 ). Le deuxième résidu doit être récupéré dans une boîte de Petri (ou un papier-filtre placé sur un entonnoir) en ouvrant le robinet jusqu’à ce que seul un peu de mélange des solvants et les matières flottantes finales restent dans l’ampoule à décanter. Le liquide restant et les matières flottantes finales sont collectés séparément sur un papier-filtre placé sur un entonnoir. La paroi de l’ampoule à décanter doit être rincée avec de l’éther de pétrole afin de recueillir toutes les matières flottantes finales. On laisse sécher les matières flottantes finales. Enfin, les matières flottantes finales doivent être passées à travers un tamis à mailles de 0,25 mm et les deux fractions obtenues doivent être examinées aux fins de la détection de constituants d’invertébrés terrestres, sauf si le tamisage n’est pas jugé nécessaire.
"L’échantillon soumis à l’analyse ne contient aucune particule dérivée de vertébrés terrestres détectable au microscope optique." "L’échantillon soumis à l’analyse ne contient aucune particule dérivée de poisson détectable au microscope optique." "L’échantillon soumis à l’analyse ne contient aucune particule dérivée d’invertébrés terrestres détectable au microscope optique."
"L’échantillon soumis à l’analyse ne contient pas plus de 5 particules dérivées de vertébrés terrestres détectables au microscope optique. Les particules ont été identifiées comme étant... [de l’os, du cartilage, du muscle, des poils, de la corne, autre chose (préciser de quoi il s’agit)]. Cette présence faible est inférieure à la limite de décision fixée pour cette méthode d’examen au microscope." "L’échantillon soumis à l’analyse ne contient pas plus de 5 particules dérivées de poisson détectables au microscope optique. Les particules ont été identifiées comme étant... [des arêtes, des écailles de poisson, du cartilage, du muscle, des otolithes, des branchies, autre chose (préciser de quoi il s’agit)]. Cette présence faible est inférieure à la limite de décision fixée pour cette méthode d’examen au microscope."
"L’échantillon soumis à l’analyse dans le cadre de deux déterminations ne contient pas plus de 10 particules dérivées de vertébrés terrestres détectables au microscope optique. Les particules ont été identifiées comme étant... [de l’os, du cartilage, du muscle, des poils, de la corne, autre chose (préciser de quoi il s’agit)]. Cette présence faible est inférieure à la limite de décision fixée pour cette méthode d’examen au microscope." "L’échantillon soumis à l’analyse dans le cadre de deux déterminations ne contient pas plus de 10 particules dérivées de poisson détectables au microscope optique. Les particules ont été identifiées comme étant... [des arêtes, des écailles de poisson, du cartilage, du muscle, des otolithes, des branchies, autre chose (préciser de quoi il s’agit)]. Cette présence faible est inférieure à la limite de décision fixée pour cette méthode d’examen au microscope." "L’échantillon soumis à l’analyse dans le cadre de deux déterminations ne contient pas plus de 10 particules dérivées d’invertébrés terrestres détectables au microscope optique. Les particules ont été identifiées comme étant... [des fragments de cuticules, des parties de bouche, du muscle, des structures trachéales, autre chose (préciser de quoi il s’agit)]. Cette présence faible est inférieure à la limite de décision fixée pour cette méthode d’examen au microscope."
En cas de prétamisage de l’échantillon, le rapport de laboratoire doit mentionner la fraction (fraction tamisée, fraction de granulés ou de bouchons) dans laquelle les particules animales ont été détectées, dans la mesure où seule la détection de particules animales dans la fraction tamisée peut être le signe d’une contamination de l’environnement. Lorsque seules sont détectées des particules animales qui ne peuvent pas être classées comme provenant de vertébrés terrestres ou de poissons (par exemple, des fibres musculaires), le rapport doit indiquer que seules de telles particules animales ont été détectées et qu’il ne peut être exclu qu’elles proviennent de vertébrés terrestres.
"L’échantillon soumis à l’analyse contient plus de 5 particules dérivées de vertébrés terrestres détectables au microscope optique. Les particules ont été identifiées comme étant... [de l’os, du cartilage, du muscle, des poils, de la corne, autre chose (préciser de quoi il s’agit)]." "L’échantillon soumis à l’analyse contient plus de 5 particules dérivées de poisson détectables au microscope optique. Les particules ont été identifiées comme étant... [des arêtes, des écailles de poisson, du cartilage, du muscle, des otolithes, des branchies, autre chose (préciser de quoi il s’agit)]." "L’échantillon soumis à l’analyse contient plus de 5 particules dérivées d’invertébrés terrestres détectables au microscope optique. Les particules ont été identifiées comme étant... [des fragments de cuticules, des parties de bouche, du muscle, des structures trachéales, autre chose (préciser de quoi il s’agit)]."
"L’échantillon soumis à l’analyse dans le cadre de deux déterminations contient plus de 10 particules dérivées de vertébrés terrestres détectables au microscope optique. Les particules ont été identifiées comme étant... [de l’os, du cartilage, du muscle, des poils, de la corne, autre chose (préciser de quoi il s’agit)]." "L’échantillon soumis à l’analyse dans le cadre de deux déterminations contient plus de 10 particules dérivées de poisson détectables au microscope optique. Les particules ont été identifiées comme étant... [des arêtes, des écailles de poisson, du cartilage, du muscle, des otolithes, des branchies, autre chose (préciser de quoi il s’agit)]." "L’échantillon soumis à l’analyse dans le cadre de deux déterminations contient plus de 10 particules dérivées d’invertébrés terrestres détectables au microscope optique. Les particules ont été identifiées comme étant... [des fragments de cuticules, des parties de bouche, du muscle, des structures trachéales, autre chose (préciser de quoi il s’agit)]."
En cas de prétamisage de l’échantillon, le rapport de laboratoire doit mentionner la fraction (fraction tamisée, fraction de granulés ou de bouchons) dans laquelle les particules animales ont été détectées, dans la mesure où seule la détection de particules animales dans la fraction tamisée peut être le signe d’une contamination de l’environnement. Lorsque seules sont détectées des particules animales qui ne peuvent pas être classées comme provenant de vertébrés terrestres ou de poissons (par exemple, des fibres musculaires), le rapport doit indiquer que seules de telles particules animales ont été détectées et qu’il ne peut être exclu qu’elles proviennent de vertébrés terrestres.
un témoin d’extraction à blanc, un témoin positif d’extraction de l’ADN.
un témoin positif de l’ADN cible doit être utilisé pour chaque plaque ou série d’épreuves PCR, un témoin du réactif d’amplification (également appelé "témoin négatif") doit être utilisé pour chaque plaque ou série d’épreuves PCR.
pour le dosage des matières grasses brutes: le procédé B de la méthode de dosage des matières grasses brutes, prévu au point G de l’annexe III, pour le dosage de l’amidon: la méthode polarimétrique, prévue au point K de l’annexe III.
colonne de chromatographie liquide (4.4.1), phase mobile de la CLHP: mélange méthanol-eau (3.3), débit: 1 à 1,5 ml/min,longueur d'onde de détection: 265 nm, volume injecté: 20 à 50 μl.
a) les longueurs d'onde d'absorption maximale des spectres de l'échantillon et de l'étalon, enregistrées au sommet des pics sur le chromatogramme, doivent être identiques, dans une marge déterminée par le pouvoir de résolution du système de détection. Dans le cadre d'une détection par barrettes de diodes, elle est généralement de plus ou moins 2 nm; b) entre 220 et 350 nm, les spectres de l'échantillon et de l'étalon, enregistrés au sommet du pic sur le chromatogramme, ne doivent pas être différents pour les parties du spectre comprises entre 10 et 100 % de densité optique relative. Ce critère est rempli lorsque les mêmes maxima sont présents et que l'écart observé entre les deux spectres ne dépasse nulle part 15 % de densité optique de l'analyte étalon; c) entre 220 et 350 nm, les spectres de la courbe ascendante, du sommet et de la courbe descendante du pic fourni par l'extrait d'échantillon ne peuvent être visuellement différents les uns des autres pour les parties du spectre comprises entre 10 et 100 % de densité optique relative. Ce critère est rempli lorsque les mêmes maxima sont présents et que l'écart observé entre les spectres ne dépasse nulle part 15 % de la densité optique du spectre au sommet du pic.
Blanc | Farine 1 | Granulés 1 | Farine 2 | Granulés 2 | |
---|---|---|---|---|---|
Moyenne [mg/kg] | ND | ||||
s | — | ||||
CV | — | ||||
s | — | ||||
CV | — | ||||
Récupération [%] | — |
Colonne d'analyse (4.3.1) | |
Phase mobile (3.4): | mélange d'eau (3.3) et de méthanol (3.2), 900 + 100 (v + v) |
Débit: | |
Longueur d'onde de détection: | 380 nm |
Volume d'injection: | 20 μl-100 μl |
a) les longueurs d'onde d'absorption maximale des spectres de l'échantillon et de l'étalon, enregistrées au sommet des pics sur le chromatogramme, doivent être identiques, dans une marge déterminée par le pouvoir de résolution du système de détection. Dans le cadre d'une détection par barrettes de diodes, elle est généralement de ± 2 nm; b) entre 220 et 400 nm, les spectres de l'échantillon et de l'étalon enregistrés au sommet du pic sur le chromatogramme ne doivent pas être différents pour les parties du spectre situées entre 10 et 100 % de l'absorbance relative. Ce critère est rempli lorsque les mêmes maxima sont présents et que, en aucun point, l'écart observé entre les deux spectres ne dépasse 15 % de l'absorbance de l'analyte étalon; c) entre 220 en 400 nm, les spectres de la courbe ascendante, du sommet et de la courbe descendante du pic produits par l'extrait d'échantillon ne doivent pas être différents les uns des autres pour les parties du spectre situées entre 10 et 100 % de l'absorbance relative. Ce critère est rempli lorsque les mêmes maxima sont présents et que, en aucun point, l'écart observé entre les spectres ne dépasse 15 % de l'absorbance du spectre au sommet du pic.
Échantillon 1 | Échantillon 2 | Échantillon 3 | Échantillon 4 | |
---|---|---|---|---|
L | 13 | 10 | 11 | 11 |
n | 40 | 40 | 44 | 44 |
Moyenne [mg/kg] | — | |||
S | — | |||
S | — | |||
CV | — | |||
CV | — | |||
Teneur nominale | ||||
[mg/kg] | — | 15 | 50 | 100 |
Récupération % | — |
Colonne de chromatographie | |
liquide (4.1.1): | 125 mm × 4 mm avec échange de cations avec Nucleosil 10 SA de 5 ou de 10 μm, ou équivalent |
Phase mobile (3.6): | mélange d'acétonitrile (3.2), de solution de phosphate monosodique (3.4) et de solution de perchlorate de sodium (3.5), 450 + 450 + 100 (v + v + v) |
Débit: | |
Longueur d'onde de détection: | 264 nm |
Volume d'injection: | 100 μl |
a) les longueurs d'onde d'absorption maximale des spectres de l'échantillon et de l'étalon, enregistrées au sommet des pics sur le chromatogramme, doivent être identiques, dans une marge déterminée par le pouvoir de résolution du système de détection. Dans le cadre d'une détection par barrettes de diodes, elle est généralement de ± 2 nm; b) entre 210 et 320 nm, les spectres de l'échantillon et de l'étalon enregistrés au sommet du pic sur le chromatogramme ne doivent pas être différents pour les parties du spectre situées entre 10 et 100 % de l'absorbance relative. Ce critère est rempli lorsque les mêmes maxima sont présents et que, en aucun point, l'écart observé entre les deux spectres ne dépasse 15 % de l'absorbance de l'analyte étalon; c) entre 210 et 320 nm, les spectres de la courbe ascendante, du sommet et de la courbe descendante du pic produits par l'extrait d'échantillon ne doivent pas être différents les uns des autres pour les parties du spectre situées entre 10 et 100 % de l'absorbance relative. Ce critère est rempli lorsque les mêmes maxima sont présents et que, en aucun point, l'écart observé entre les spectres ne dépasse 15 % de l'absorbance du spectre au sommet du pic.
15 % du résultat supérieur pour les teneurs en amprolium comprises entre 25 et 500 mg/kg, 75 mg/kg pour les teneurs en amprolium comprises entre 500 et 1000 mg/kg,7,5 % du résultat supérieur pour les teneurs en amprolium supérieures à1000 mg/kg.
Échantillon 1 (aliment blanc) | Échantillon 2 | Échantillon 3 | Échantillon 4 | Échantillon 5 | |
---|---|---|---|---|---|
L | 14 | 14 | 14 | 14 | 15 |
n | 56 | 56 | 56 | 56 | 60 |
Moyenne [mg/kg] | — | 188 | |||
s | — | 178 | 550 | ||
CVr [%] | — | ||||
s | — | 266 | 760 | ||
CV | — | ||||
Teneur nominale [mg/kg] | — | 50 | 200 |
Colonne de chromatographie liquide (4.4.1): | |
300 mm × 4 mm, C | |
Phase mobile (3.10): | Mélange de solution tampon à l'acétate (3.9) et d'acétonitrile (3.2), 825 + 175 (v + v) |
Débit: | |
Longueur d'onde de détection: | 365 nm |
Volume d'injection: | 20 μl |
a) les longueurs d'onde d'absorption maximale des spectres de l'échantillon et de l'étalon, enregistrées au sommet des pics sur le chromatogramme, doivent être identiques, dans une marge déterminée par le pouvoir de résolution du système de détection. Pour la détection par barrettes de diodes, elle est généralement de ± 2 nm; b) entre 225 et 400 nm, les spectres de l'échantillon et de l'étalon, enregistrés au sommet des pics sur le chromatogramme, ne peuvent être différents pour les parties du spectre comprises entre 10 et 100 % d'absorbance relative. Ce critère est rempli lorsque les mêmes maxima sont présents et que l'écart observé entre les deux spectres ne dépasse nulle part 15 % de l'absorbance de l'analyte étalon; c) entre 225 en 400 nm, les spectres de la courbe ascendante, du sommet et de la courbe descendante du pic produits par l'extrait d'échantillon ne doivent pas être différents les uns des autres pour les parties du spectre situées entre 10 et 100 % de l'absorbance relative. Ce critère est rempli lorsque les mêmes maxima sont présents et que l'écart observé entre les spectres ne dépasse nulle part 15 % de l'absorbance du spectre au sommet du pic.
Échantillon 1 | Échantillon 2 | Échantillon 3 | Échantillon 4 | Échantillon 5 | Échantillon 6 | |
---|---|---|---|---|---|---|
L | 8 | 8 | 8 | 8 | 8 | 8 |
n | 15 | 14 | 15 | 15 | 15 | 15 |
Moyenne (mg/kg) | ||||||
S | ||||||
CV | ||||||
S | ||||||
CV | ||||||
Teneur nominale (mg/kg) |
Prémélanges | Préparations | ||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|
A | B | C | D | A | B | C | |
L | 7 | 7 | 7 | 7 | 8 | 8 | 8 |
n | 14 | 14 | 14 | 14 | 16 | 16 | 16 |
Moyenne (g/kg) | 104 | ||||||
S | |||||||
CV | |||||||
S | |||||||
CV | |||||||
Teneur nominale (g/kg) | 100 | 100 | 100 |
Directive 71/250/CEE | Le présent règlement |
---|---|
Article 1 | Article 3 |
Article 1 | Article 2 |
Article 2 | — |
Article 3 | — |
Annexe, point 1 | Annexe II |
Annexe, point 2 | — |
Annexe, point 3 | — |
Annexe, point 4 | Annexe III, point O |
Annexe, point 5 | Annexe III, point M |
Annexe, point 6 | Annexe III, point N |
Annexe, point 7 | Annexe III, point Q |
Annexe, point 9 | Annexe III, point K |
Annexe, point 10 | — |
Annexe, point 11 | — |
Annexe, point 12 | Annexe III, point J |
Annexe, point 14 | Annexe III, point D |
Annexe, point 16 | — |
Directive 71/393/CEE | Le présent règlement |
---|---|
Article 1 | Article 3 |
Article 2 | — |
Article 3 | — |
Annexe, point 1 | Annexe III, point A |
Annexe, point 2 | Annexe III, point E |
Annexe, point 3 | Annexe III, point P |
Annexe, point 4 | Annexe III, point H |
Directive 72/199/CEE | Le présent règlement |
---|---|
Article 1 | Article 3 |
Article 2 | — |
Article 3 | — |
Article 4 | — |
Annexe I, point 1 | Annexe III, point L |
Annexe I, point 2 | Annexe III, point C |
Annexe I, point 3 | — |
Annexe I, point 4 | — |
Annexe I, point 5 | Annexe V, point A |
Annexe II | — |
Directive 73/46/CEE | Le présent règlement |
---|---|
Article 1 | Article 3 |
Article 3 | — |
Article 4 | — |
Annexe I, point 1 | Annexe III, point B |
Annexe I, point 2 | — |
Annexe I, point 3 | Annexe III, point I |
Directive 76/371/CEE | Le présent règlement |
---|---|
Article 1 | Article 1 |
Article 2 | — |
Article 3 | — |
Annexe | Annexe I |
Directive 76/372/CEE | Le présent règlement |
---|---|
Article 1 | — |
Article 2 | — |
Article 3 | — |
Annexe | — |
Directive 78/633/CEE | Le présent règlement |
---|---|
Article 1 | Article 3 |
Article 2 | — |
Article 3 | — |
Annexe, point 1 | — |
Annexe, point 2 | — |
Annexe, point 3 | Annexe IV, point C |
Directive 81/715/CEE | Le présent règlement |
---|---|
Article 1 | — |
Article 2 | — |
Article 3 | — |
Annexe | — |
Directive 84/425/CEE | Le présent règlement |
---|---|
Article 1 | — |
Article 2 | — |
Article 3 | — |
Annexe | — |
Directive 86/174/CEE | Le présent règlement |
---|---|
Article 1 | Article 4 |
Article 2 | — |
Article 3 | — |
Annexe | Annexe VII |
Directive 93/70/CEE | Le présent règlement |
---|---|
Article 1 | Article 3 |
Article 2 | — |
Article 3 | — |
Annexe | Annexe IV, point D |
Directive 93/117/CE | Le présent règlement |
---|---|
Article 1 | Articles 3 et 5 |
Article 2 | — |
Article 3 | — |
Annexe, point 1 | Annexe IV, point E |
Annexe, point 2 | Annexe VIII, point A |
Directive 98/64/CE | Le présent règlement |
---|---|
Article 1 | Articles 3 et 5 |
Article 2 | — |
Article 3 | — |
Article 4 | — |
Annexe, partie A | Annexe III, point F |
Annexe, partie C | Annexe VIII, point B |
Directive 1999/27/CE | Le présent règlement |
---|---|
Article 1 | Articles 3 et 5 |
Article 2 | — |
Article 3 | — |
Article 4 | — |
Article 5 | — |
Article 6 | — |
Article 7 | — |
Annexe, partie A | Annexe VIII, point C |
Annexe, partie B | Annexe IV, point F |
Annexe, partie C | Annexe VIII, point D |
Directive 1999/76/CE | Le présent règlement |
---|---|
Article 1 | Article 3 |
Article 2 | — |
Article 3 | — |
Article 4 | — |
Annexe | Annexe IV, point G |
Directive 2000/45/CE | Le présent règlement |
---|---|
Article 1 | Article 3 |
Article 2 | — |
Article 3 | — |
Article 4 | — |
Annexe, partie A | Annexe IV, point A |
Annexe, partie B | Annexe IV, point B |
Annexe, partie C | Annexe III, point G |
Directive 2002/70/CE | Le présent règlement |
---|---|
Article 1 | Article 1 |
Article 2 | Articles 2 et 3 |
Article 3 | — |
Article 4 | — |
Article 5 | — |
Annexe I | Annexe I et Annexe V, point B.I |
Annexe II | Annexe II et Annexe V, point B.II |
Directive 2003/126/CE | Le présent règlement |
---|---|
Article 1 | Article 3 |
Article 2 | — |
Article 3 | — |
Article 4 | — |
Article 5 | — |
Article 6 | — |
Annexe | Annexe VI |
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