Commission Regulation (EC) No 152/2009 of 27 January 2009 laying down the methods of sampling and analysis for the official control of feed (Text with EEA relevance)
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- Règlement (UE) no 278/2012 de la Commissiondu 28 mars 2012portant modification du règlement (CE) no 152/2009 en ce qui concerne la détermination des teneurs en dioxines et en polychlorobiphényles(Texte présentant de l'intérêt pour l'EEE), 32012R0278, 29 mars 2012
- Règlement (UE) no 51/2013 de la Commissiondu 16 janvier 2013modifiant le règlement (CE) no 152/2009 en ce qui concerne les méthodes d’analyse applicables en matière d’identification des constituants d’origine animale pour le contrôle officiel des aliments pour animaux(Texte présentant de l'intérêt pour l'EEE), 32013R0051, 23 janvier 2013
- Règlement (UE) no 691/2013 de la Commissiondu 19 juillet 2013modifiant le règlement (CE) no 152/2009 portant fixation des méthodes d’échantillonnage et d’analyse(Texte présentant de l'intérêt pour l'EEE), 32013R0691, 20 juillet 2013
- Règlement (UE) no 709/2014 de la Commissiondu 20 juin 2014portant modification du règlement (CE) no 152/2009 en ce qui concerne la détermination des teneurs en dioxines et en polychlorobiphényles(Texte présentant de l'intérêt pour l'EEE), 32014R0709, 27 juin 2014
- Règlement (UE) 2017/645 de la Commissiondu 5 avril 2017rectifiant la version en langue lettone du règlement (CE) no 152/2009 portant fixation des méthodes d'échantillonnage et d'analyse destinées au contrôle officiel des aliments pour animaux(Texte présentant de l'intérêt pour l'EEE), 32017R0645, 6 avril 2017
- Règlement (UE) 2017/771 de la Commissiondu 3 mai 2017portant modification du règlement (CE) no 152/2009 en ce qui concerne les méthodes de détermination des teneurs en dioxines et en polychlorobiphényles(Texte présentant de l'intérêt pour l'EEE), 32017R0771, 4 mai 2017
- Règlement d’exécution (UE) 2020/1560 de la Commissiondu 26 octobre 2020modifiant l’annexe VI du règlement (CE) no 152/2009 fixant les méthodes d’analyse applicables en matière d’identification des constituants d’origine animale pour le contrôle officiel des aliments pour animaux(Texte présentant de l’intérêt pour l’EEE), 32020R1560, 27 octobre 2020
- Règlement d’exécution (UE) 2022/893 de la Commissiondu 7 juin 2022modifiant l’annexe VI du règlement (CE) no 152/2009 en ce qui concerne les méthodes d’analyse applicables en matière de détection des constituants d’invertébrés terrestres pour le contrôle officiel des aliments pour animaux(Texte présentant de l’intérêt pour l’EEE), 32022R0893, 8 juin 2022
Personnel chargé du prélèvement des échantillons: les prélèvements sont effectués par des personnes mandatées à cet effet par l’autorité compétente. L’échantillon doit être scellé de sorte qu’il soit impossible d’y accéder sans briser ou retirer le scellé. La marque du scellé doit être clairement identifiable et visible. L’échantillon peut également être placé dans un récipient pouvant être fermé de manière à ce qu’il soit impossible de l’ouvrir sans endommager irréversiblement le réceptacle ou le contenant, afin d’éviter sa réutilisation. Identification de l’échantillon: l’échantillon doit être pourvu d’une marque indélébile et être identifié de façon à établir un lien non équivoque avec le rapport d’échantillonnage. Au moins deux échantillons finals sont prélevés sur chaque échantillon global: au moins un à des fins de contrôle (surveillance du respect de la loi) et un autre destiné à l’exploitant du secteur de l’alimentation animale (à des fins de recours). Un échantillon final peut éventuellement être prélevé à des fins de référence. Si l’échantillon global complet est homogénéisé, les échantillons finals sont prélevés sur celui-ci, à moins que cette procédure ne soit contraire à la législation des États membres concernant le droit des exploitants du secteur de l’alimentation animale.
Les exigences quantitatives relatives au nombre d’échantillons élémentaires figurant aux points 5.1 et 5.2 s’appliquent à des portions échantillonnées n’excédant pas 500 tonnes et qui peuvent faire l’objet d’un échantillonnage représentatif. La procédure d’échantillonnage décrite est aussi valable pour des quantités supérieures à la taille maximale prescrite pour la portion échantillonnée, à condition de ne pas tenir compte du nombre maximal d’échantillons élémentaires indiqué dans les tableaux ci-après – le nombre d’échantillons élémentaires étant déterminé grâce à la formule mathématique indiquée dans la partie pertinente de la procédure (voir le point 5.3) – et d’augmenter proportionnellement la taille minimale de l’échantillon global. Il est néanmoins possible de diviser un lot de grande taille en sous-lots plus petits et d’échantillonner chaque sous-lot conformément à la procédure décrite aux points 5.1 et 5.2. La dimension de la portion échantillonnée doit être telle que toutes les parties qui la composent puissent être échantillonnées. Pour les lots ou sous-lots de très grande taille (> 500 tonnes) et les lots qui sont transportés ou stockés d’une manière qui ne permet pas d’effectuer l’échantillonnage conformément à la procédure prévue aux points 5.1 et 5.2 du présent chapitre, la procédure d’échantillonnage prévue au point 5.3 doit être appliquée. Si la législation impose à l’exploitant du secteur de l’alimentation animale de se conformer au présent règlement dans le cadre d’un système de contrôle obligatoire, l’exploitant peut s’écarter des exigences quantitatives prévues par le présent chapitre afin de tenir compte de caractéristiques opérationnelles, à la condition qu’il ait démontré, à la satisfaction de l’autorité compétente, l’équivalence de la procédure d’échantillonnage du point de vue de la représentativité, et après avoir obtenu l’autorisation de l’autorité compétente. Dans des cas exceptionnels, s’il n’est pas possible d’appliquer la méthode d’échantillonnage décrite en ce qui concerne les exigences quantitatives, parce qu’elle entraînerait une dégradation inacceptable de la valeur commerciale du lot (à cause des formes d’emballage, des moyens de transport, du mode de stockage, etc.), un autre mode de prélèvement peut être appliqué, à condition qu’il soit aussi représentatif que possible et qu’il soit décrit en détail et bien documenté.
Taille de la portion échantillonnée | Nombre minimal d’échantillons élémentaires |
---|---|
≤ 2,5 tonnes | |
> 2,5 tonnes | √ 20 fois le nombre de tonnes constituant la portion échantillonnée |
Taille de la portion échantillonnée | Nombre minimal d’échantillons élémentaires |
---|---|
≤ 2,5 tonnes ou ≤ | |
> 2,5 tonnes ou > |
Taille de la portion échantillonnée | Nombre minimal d’unités sur lesquelles (au moins) un échantillon élémentaire doit être prélevé |
---|---|
De 1 à 20 unités | 1 unité |
De 21 à 150 unités | 3 unités |
De 151 à 400 unités | 5 unités |
> 400 unités | ¼ du √ nombre d’unités constituant la portion échantillonnée |
Taille de la portion échantillonnée | Nombre minimal d’échantillons élémentaires |
---|---|
≤ 5 tonnes | |
> 5 tonnes | √ 5 fois le nombre de tonnes constituant la portion échantillonnée |
contrôle de la présence d’aflatoxines, d’ergot de seigle, d’autres mycotoxines et impuretés botaniques nuisibles dans les matières premières des aliments pour animaux, contrôle de la contamination croisée par un constituant, y compris le matériel génétiquement modifié, ou une substance susceptibles d’être répartis non uniformément dans les matières premières des aliments pour animaux.
Taille de la portion échantillonnée | Nombre minimal d’échantillons élémentaires |
---|---|
< 80 tonnes | Voir les exigences quantitatives au point 5.1. Le nombre d’échantillons élémentaires à prélever doit être multiplié par 2,5. |
≥ 80 tonnes |
Un seul échantillon global par portion échantillonnée est requis. | ||
---|---|---|
Nature des aliments pour animaux | Taille minimale de l’échantillon global | |
6.1. | Aliments en vrac | |
6.2. | Aliments emballés | |
6.3. | Aliments liquides ou semi-liquides | 4 litres |
6.4. | Aliments en briques ou pierres à lécher: | |
6.4.1. | d’un poids unitaire excédant 1 kg | |
6.4.2. | d’un poids unitaire n’excédant pas 1 kg | poids de quatre briques ou pierres d’origine |
6.5. | Fourrage/fourrage grossier |
Aliments solides | |
Aliments liquides ou semi-liquides |
Introduire chaque échantillon dans un récipient/réceptacle approprié. Prendre toutes les précautions nécessaires pour éviter toute modification de la composition de l’échantillon ou toute contamination ou altération pouvant survenir au cours du transport ou du stockage. Pour le contrôle des constituants ou substances répartis uniformément dans les aliments pour animaux, l’échantillon global peut être réduit de façon représentative à 2 kg ou 2 litres au moins (échantillon réduit) , de préférence au moyen d’un diviseur mécanique ou automatique. Pour le contrôle de la présence de résidus de pesticides dans les légumineuses, les grains de céréales et les fruits à coque, la taille minimale de l’échantillon réduit est de 3 kg. Si la nature des aliments pour animaux ne permet pas d’utiliser un diviseur ou si ce dernier n’est pas disponible, l’échantillon peut être réduit par la méthode des quartiers. À partir des échantillons réduits, préparer ensuite des échantillons finals (à des fins de contrôle, de recours et de référence) de quantité approximativement égale et conformes aux exigences quantitatives figurant au chapitre 7. En cas de contrôle des constituants, y compris le matériel génétiquement modifié, ou substances susceptibles d’être répartis non uniformément dans les matières premières pour aliments des animaux, l’échantillon global est:Sauf pour le fourrage grossier ou fourrage de faible densité relative. complètement homogénéisé puis divisé en échantillons finals, ou réduit à 2 kg ou 2 litres au moins au moyen d’un diviseur mécanique ou automatique. Si la nature des aliments pour animaux ne permet pas d’utiliser un diviseur, et dans ce cas uniquement, l’échantillon peut, si nécessaire, être réduit par la méthode des quartiers. Pour le contrôle de la présence de matériel génétiquement modifié dans le cadre du règlement (UE) nSauf pour le fourrage grossier ou fourrage de faible densité relative. o 619/2011, l’échantillon réduit doit contenir au moins35000 graines/semences pour permettre d’obtenir des échantillons finals à des fins de contrôle, de recours et de référence comportant au moins10000 graines/semences [voir la note de bas de page (**) au chapitre 6 et la note de bas de page (*) au chapitre 7].
Mélanger l’échantillon final tamisé et le recueillir dans un récipient approprié, propre et sec, muni d’une fermeture hermétique. Mélanger de nouveau pour garantir une homogénéisation complète, immédiatement avant de prélever la prise d’essai (aliquote de test).
Sauf indication spécifique dans les méthodes d’analyse, dessécher l’échantillon final, de façon à ramener sa teneur en humidité à un niveau compris entre 8 et 12 %, en appliquant le procédé de prédessiccation décrit au point 4.3 de la méthode de dosage de l’humidité mentionnée à l’annexe III, point A. Procéder ensuite comme indiqué au point 3.1.1.
Recueillir l’échantillon final dans un récipient approprié, propre et sec, muni d’une fermeture hermétique. Mélanger soigneusement pour garantir une homogénéisation complète, immédiatement avant de prélever la prise d’essai (aliquote de test).
Si l’échantillon final ne peut être préparé selon l’un des procédés indiqués ci-dessus, appliquer tout autre procédé de préparation approprié permettant d’obtenir des prises d’essai (aliquotes de test) homogènes et représentatives des échantillons finals.
En cas d’examen visuel (sans microscope), l’échantillon de laboratoire est examiné dans son intégralité. En cas d’examen au microscope, le laboratoire peut réduire l’échantillon global ou réduire encore davantage l’échantillon réduit. Les échantillons finals destinés à des fins de recours et, éventuellement, à des fins de référence sont prélevés selon une procédure équivalente à la procédure appliquée pour prélever l’échantillon final destiné à des fins de contrôle. Si l’échantillon global est entièrement homogénéisé, les échantillons finals sont prélevés sur l’échantillon global homogénéisé.
a) corrigé au titre de la récupération, le taux de récupération étant indiqué. La correction de la récupération n’est pas nécessaire lorsque le taux de récupération est compris entre 90 et 110 %; b) sous la forme "x +/– U", où x est le résultat de l’analyse et U l’incertitude de mesure élargie, calculée à l’aide d’un coefficient de couverture 2 qui donne un niveau de confiance d’environ 95 %.
0,2 % en valeur absolue pour les teneurs en protéines brutes inférieures à 20 %,1,0 % par rapport au résultat le plus élevé, pour les teneurs en protéines brutes comprises entre 20 et 40 %,0,4 % en valeur absolue pour les teneurs supérieures à 40 %.
10 % en valeur relative pour les teneurs en ammoniac inférieures à 1,0 %,0,1 % en valeur absolue pour les teneurs en ammoniac égales ou supérieures à1,0 %.
un ballon sphérique de 100 ml (4.1) pour hydrolyse ouverte (5.3.2.3), ou un ballon sphérique de 250 ml (4.1) si l'on a besoin d'une faible concentration de sodium (5.3.3.1), ou un flacon de 100 ml à bouchon à vis (4.2) (pour hydrolyse fermée 5.3.2.4).
Matériau de référence | Acide aminé | |||
---|---|---|---|---|
Thréonine | Cyst(é)ine | Méthionine | Lysine | |
Aliment composé pour porcs | ||||
Aliment composé pour poulets de chair | ||||
Concentré protéique | ||||
Prémélange | — |
Matériau de référence | Acide aminé | |||
---|---|---|---|---|
Thréonine | Cyst(é)ine | Méthionine | Lysine | |
Aliment composé pour porcs | ||||
Aliment composé pour poulets de chair | ||||
Concentré protéique | ||||
Prémélange | — |
Matériau de référence | Acide aminé | |||
---|---|---|---|---|
Thréonine | Cyst(é)ine | Méthionine | Lysine | |
Aliment composé pour porcs | ||||
Aliment composé pour poulets de chair | ||||
Concentré protéique | ||||
Prémélange | — |
Matériau de référence | Acide aminé | |||
---|---|---|---|---|
Thréonine | Cyst(é)ine | Méthionine | Lysine | |
Aliment composé pour porcs | ||||
Aliment composé pour poulets de chair | ||||
Concentré protéique | ||||
Prémélange | — |
Matériau de référence | Acide aminé | |||
---|---|---|---|---|
Thréonine | Cyst(é)ine | Méthionine | Lysine | |
Aliment composé pour porcs | ||||
Aliment composé pour poulets de chair | ||||
Concentré protéique | ||||
Prémélange | — |
125 mm × 4 mm, C | |
Température de la colonne: | température ambiante |
Phase mobile (3.22): | |
Débit: | 1 ml/min |
Temps d'élution total: | environ 34 minutes |
Longueur d'onde de détection: | excitation: 280 nm; émission: 356 nm |
Volume d'injection: | 20 μl |
L | 12 | 12 | 12 |
n | 50 | 55 | 50 |
Moyenne [g/kg] | |||
s | |||
r [g/kg] | |||
CV | |||
S | |||
R [g/kg] | |||
CV |
L | 12 | 12 |
n | 55 | 60 |
Moyenne [g/kg] | ||
s | ||
r [g/kg] | ||
CV | ||
S | ||
R [g/kg] | ||
CV |
L | 7 | 7 | 7 | 7 |
n | 25 | 30 | 30 | 30 |
Moyenne [g/kg] | ||||
s | ||||
r [g/kg] | ||||
CV | ||||
S | ||||
R [g/kg] | ||||
CV |
Colonne de chromatographie liquide: | 125 mm × 4 mm, C | ||
Température de la colonne: | 32 | ||
Phase mobile: | |||
Programme du gradient: | 0 min | 100 % A | 0 % B |
15 min | 100 % A | 0 % B | |
17 min | 60 % A | 40 % B | |
19 min | 60 % A | 40 % B | |
21 min | 100 % A | 0 % B | |
33 min | 100 % A | 0 % B | |
Débit: | |||
Temps d'élution total: | environ 33 minutes. |
0,2 %, en valeur absolue, pour les teneurs en matières grasses brutes inférieures à 5 %,4,0 % du résultat le plus élevé pour les teneurs de 5 à 10 %,0,4 %, en valeur absolue, pour les teneurs supérieures à 10 %.
0,6 % en valeur absolue, pour les teneurs en cellulose brute inférieures à 10 %,6 % par rapport au résultat le plus élevé, pour les teneurs en cellulose brute égales ou supérieures à 10 %.
ml | mg | différence | mg | différence | mg | différence | ml |
---|---|---|---|---|---|---|---|
ml | mg | différence | mg | différence | mg | différence | ml |
---|---|---|---|---|---|---|---|
+ | amidon de riz; |
+ | fécule de pomme de terre; |
+ | amidon de maïs; |
+ | amidon de froment (blé); |
+ | amidon d'orge; |
+ | amidon d'avoine; |
+ | autres types d'amidon et mélanges d'amidon dans les aliments composés. |
sous-produits de betterave (sucrière) tels que la pulpe de betterave (sucrière), la mélasse de betterave (sucrière), la pulpe de betterave (sucrière) mélassée, la vinasse de betterave (sucrière), le sucre de betterave, pulpe d'agrumes, graines de lin; tourteau de pression de graines de lin; tourteau d'extraction de graines de lin, graines de colza; tourteau de pression de colza; tourteau d'extraction de colza; pellicules de colza, graines de tournesol; tourteau d'extraction de tournesol; tourteau d'extraction de tournesol partiellement décortiqué, tourteau de pression de coprah; tourteau d'extraction de coprah, pulpe de pommes de terre, levures déshydratées, produits riches en inuline (par exemple, cossettes et farine de topinambour), cretons.
0,5 g pour les produits contenant de 50 à 100 % de carbonates, exprimés en carbonate de calcium,1 g pour les produits contenant de 40 à 50 % de carbonates, exprimés en carbonate de calcium, 2 à 3 g pour les autres produits.
3 % par rapport au résultat le plus élevé, pour les teneurs en phosphore inférieures à 5 %, 0,15 % en valeur absolue pour les teneurs en phosphore égales ou supérieures à 5 %.
Colonne de chromatographie liquide (point 4.5.1): | 250 mm × 4 mm, C |
Phase mobile (3.9): | mélange de méthanol (3.3) et d'eau, par exemple 980 + 20 (v + v). |
Débit: | 1-2 ml/min |
Détecteur (4.5.2): |
à la saponification (5.2): en raison de la quantité de graisse présente dans l'échantillon, il peut être nécessaire d'augmenter la quantité de solution d'hydroxyde de potassium (3.4), à l'extraction (5.3): en raison de la présence d'émulsions, il peut être nécessaire d'adapter le ratio (2:1) eau/éthanol.
Prémélange | Aliment prémélangé | Concentré minéral | Concentré protéique | Aliment pour porcelets | |
---|---|---|---|---|---|
L | 13 | 12 | 13 | 12 | 13 |
n | 48 | 45 | 47 | 46 | 49 |
moyenne [UI/kg] | |||||
s | 682 | ||||
r [UI/kg] | |||||
CV | |||||
s | |||||
R [UI/kg] | |||||
CV | 15 | 20 |
Colonne de chromatographie liquide (point 4.5.1): | 250 mm × 4 mm, C |
Phase mobile (3.8): | mélange de méthanol (3.3) et d'eau, par exemple 980 + 20 (v+v) |
Débit: | 1-2 ml/min |
Détecteur (4.5.2): |
Prémélange | Aliment prémélangé | Concentré minéral | Concentré protéique | Aliment pour porcelets | |
---|---|---|---|---|---|
L | 12 | 12 | 12 | 12 | 12 |
n | 48 | 48 | 48 | 48 | 48 |
Moyenne [mg/kg] | 926 | 315 | |||
s | 384 | ||||
r [mg/kg] | |||||
CV | |||||
s | 830 | ||||
R [mg/kg] | |||||
CV |
fer (Fe): 20 mg/kg, cuivre (Cu): 10 mg/kg, manganèse (Mn): 20 mg/kg, zinc (Zn): 20 mg/kg.
dissoudre 1 g de cuivre en poudre dans 25 ml d'acide chlorhydrique 6 mol/l (3.2), ajouter 5 ml de peroxyde d'hydrogène (3.6) et ajuster à 1 l avec de l'eau.
dissoudre 1 g de manganèse en poudre dans 25 ml d'acide chlorhydrique 6 mol/l (3.2) et ajuster à 1 l avec de l'eau.
dissoudre 1 g de zinc en ruban ou en plaque dans 25 ml d'acide chlorhydrique 6 mol/l (3.2) et ajuster à 1 l avec de l'eau.
a) il est important, lors du dosage des oligoéléments, d'être attentif aux risques de contamination, notamment par le zinc, le cuivre et le fer. Les instruments utilisés pour la préparation des échantillons doivent par conséquent être exempts de ces métaux. Pour réduire les risques de contamination, il convient de travailler en atmosphère exempte de poussières avec un matériel rigoureusement propre et une verrerie soigneusement lavée. Le dosage du zinc est particulièrement sensible aux nombreux types de contaminations dues, par exemple, à la verrerie, aux réactifs et à la poussière; b) calculer le poids de l'échantillon à incinérer en fonction de la teneur approximative de l'aliment en oligo-élément à doser et de la sensibilité du spectrophotomètre utilisé. Pour certains aliments pauvres en oligo-éléments, il peut être nécessaire de prélever un échantillon de 10 à 20 g et de limiter le volume de la solution finale à 100 ml; c) incinérer dans un four fermé sans injection d'air ou d'oxygène; d) la température indiquée par le pyromètre ne peut dépasser 475 o C.
μg Fe/ml | 0 | 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | |
ml de solution étalon de travail (3.7.1) (1 ml = 100 μg Fe) | 0 | 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | |
ml HCl (3.2) | 7 | 7 | 7 | 7 | 7 | 7 | 7 |
+ 10 ml de solution de chlorure de lanthane (3.11); ajuster à 100 ml avec de l'eau. |
μg Cu/ml | 0 | ||||||
ml de solution étalon de travail (3.8.1) (1 ml = 10 μg Cu) | 0 | 1 | 2 | 4 | 6 | 8 | 10 |
ml HCl (3.2) | 8 | 8 | 8 | 8 | 8 | 8 | 8 |
μg Mn/ml | 0 | ||||||
ml de solution étalon de travail (3.9.1) (1 ml = 10 μg Mn) | 0 | 1 | 2 | 4 | 6 | 8 | 10 |
ml HCl (3.2) | 7 | 7 | 7 | 7 | 7 | 7 | 7 |
+ 10 ml de solution de chlorure de lanthane (3.11); ajuster à 100 ml avec de l'eau. |
μg Zn/ml | 0 | ||||||
ml de solution étalon de travail (3.10.1) (1 ml = 10 μg Zn) | 0 | 1 | 2 | 4 | 6 | 8 | |
ml HCl (3.2) | 7 | 7 | 7 | 7 | 7 | 7 | 7 |
+ 10 ml de solution de chlorure de lanthane (3.11); ajuster à 100 ml avec de l'eau. |
Fe: 248,3 nm;Cu: 324,8 nm;Mn: 279,5 nm;Zn: 213,8 nm.
5 mg/kg, en valeur absolue, pour les teneurs en oligoélément concerné allant jusqu'à 50 mg/kg, 10 % du résultat le plus élevé pour les teneurs en oligoélément comprises entre 50 et 100 mg/kg, 10 mg/kg, en valeur absolue, pour les teneurs en oligoélément concerné comprises entre 100 et 200 mg/kg, 5 % du résultat le plus élevé pour les teneurs en oligoélément concerné supérieures à 200 mg/kg.
a) les longueurs d'onde d'absorption maximale des spectres de l'échantillon et de l'étalon, enregistrées au sommet des pics sur le chromatogramme, doivent être identiques, dans une marge déterminée par le pouvoir de résolution du système de détection. Dans le cadre d'une détection par barrettes de diodes, elle est généralement d'environ 2 nm; b) entre 225 et 300 nm, les spectres de l'échantillon et de l'étalon, enregistrés au sommet des pics sur le chromatogramme, ne peuvent être différents pour les parties du spectre comprises entre 10 et 100 % d'absorbance relative. Ce critère est rempli lorsque les mêmes maxima sont présents et que l'écart observé entre les deux spectres ne dépasse nulle part 15 % de l'absorbance de l'analyte étalon; c) entre 225 et 300 nm, les spectres de la courbe ascendante, du sommet et de la courbe descendante du pic fourni par l'extrait d'échantillon ne peuvent être visuellement différents les uns des autres pour les parties du spectre comprises entre 10 et 100 % d'absorbance relative. Ce critère est rempli lorsque les mêmes maxima sont présents et que l'écart observé entre les spectres ne dépasse nulle part 15 % de l'absorbance du spectre au sommet du pic.
Échantillon B (farine) | Échantillon C (granulés) | ||||
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À la réception | Après deux mois | À la réception | Après deux mois | ||
Moyenne [mg/kg] | ND | ||||
S | — | ||||
CV | — | 16 | 18 | 14 | 17 |
Réc. [%] | 86 | 74 | 88 | 75 |
650 ml d'acétonitrile (3.3), 250 ml d'eau (de qualité CLHP), 50 ml de solution de dihydrogénophosphate de potassium (3.6), 50 ml de solution de monohydrogénophosphate disodique (3.7).
a) les longueurs d'onde d'absorption maximale des spectres de l'échantillon et de l'étalon, enregistrées au sommet des pics sur le chromatogramme, doivent être identiques, dans une marge déterminée par le pouvoir de résolution du système de détection. Dans le cadre d'une détection par barrettes de diodes, elle est généralement de plus ou moins 2 nm; b) entre 250 et 400 nm, les spectres de l'échantillon et de l'étalon, enregistrés au sommet des pics sur le chromatogramme, ne peuvent être différents pour les parties du spectre comprises entre 10 et 100 % d'absorbance relative. Ce critère est rempli lorsque les mêmes maxima sont présents et que l'écart observé entre les deux spectres ne dépasse nulle part 15 % de l'absorbance de l'analyte étalon; c) entre 250 et 400 nm, les spectres de la courbe ascendante, du sommet et de la courbe descendante du pic fourni par l'extrait d'échantillon ne peuvent être visuellement différents les uns des autres pour les parties du spectre comprises entre 10 et 100 % d'absorbance relative. Ce critère est rempli lorsque les mêmes maxima sont présents et que l'écart observé entre les spectres ne dépasse nulle part 15 % de l'absorbance du spectre au sommet du pic.
Volailles | Lapins | |||
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Farine | Granulés | Farine | Granulés | |
Moyenne [mg/kg] | ||||
s | ||||
CV | ||||
S | ||||
CV | ||||
Récupération [%] |
Colonne de chromatographie liquide (4.2.1): | 100 mm × | |
Phase mobile: | Éluant A (3.13.2): | solution aqueuse d'acétate d'ammonium et d'hydrogénosulfate de tétrabutylammonium |
Éluant B (3.13.2): | acétonitrile | |
Éluant C (3.13.3): | méthanol | |
Mode d'élution: |
| |
Débit: | ||
Volume d'injection: | 20 μl | |
Longueur d'onde de détection: | 280 nm. |
a) les longueurs d'onde d'absorption maximale des spectres de l'échantillon et de l'étalon, enregistrées au sommet des pics sur le chromatogramme, doivent être identiques, dans une marge déterminée par le pouvoir de résolution du système de détection. Dans le cadre d'une détection par barrettes de diodes, elle est généralement de ± 2 nm; b) entre 230 et 320 nm, les spectres de l'échantillon et de l'étalon enregistrés au sommet du pic sur le chromatogramme ne doivent pas être différents pour les parties du spectre situées entre 10 et 100 % de l'absorbance relative. Ce critère est rempli lorsque les mêmes maxima sont présents et que, en aucun point, l'écart observé entre les deux spectres ne dépasse 15 % de l'absorbance de l'étalon de l'analyte; c) entre 230 en 320 nm, les spectres de la courbe ascendante, du sommet et de la courbe descendante du pic produits par l'extrait d'échantillon ne doivent pas être différents les uns des autres pour les parties du spectre situées entre 10 et 100 % de l'absorbance relative. Ce critère est rempli lorsque les mêmes maxima sont présents et que, en aucun point, l'écart observé entre les spectres ne dépasse 15 % de l'absorbance du spectre au sommet du pic.
30 % du résultat supérieur pour les teneurs en diclazuril comprises entre 0,5 et2,5 mg/kg,0,75 mg/kg pour les teneurs en diclazuril comprises entre2,5 et 5 mg/kg,15 % du résultat supérieur pour les teneurs en diclazuril supérieures à 5 mg/kg.
L | 11 | 11 | 11 | 11 | 6 |
n | 19 | 18 | 19 | 19 | 12 |
Moyenne | |||||
S | |||||
CV | |||||
S | |||||
CV | |||||
Teneur nominale (mg/kg) | 100 | 100 | 1 | 1 | 1 |
Colonne de chromatographie liquide (4.3.1): | 125 mm × 4 mm, en phase inverse, C |
Phase mobile (3.9): | Mélange de solution tampon de phosphate (3.7) et de méthanol (3.5), 5 + 95 (V + V) |
Débit: | |
Longueurs d'onde de détection: | |
Sollicitation: | 310 nm |
Émission: | 419 nm |
Volume d'injection: | 20 μl |
15 % du résultat supérieur pour les teneurs en lasalocide-sodium comprises entre 30 mg/kg et 100 mg/kg, 15 mg/kg pour les teneurs en lasalocide-sodium comprises entre 100 mg/kg et 200 mg/kg, 7,5 % du résultat supérieur pour les teneurs en lasalocide-sodium supérieures à 200 mg/kg.
L | 12 | 12 | 12 | 12 | 12 | 12 | 12 |
n | 23 | 23 | 23 | 23 | 23 | 23 | 23 |
Moyenne [mg/kg] | |||||||
s | 107 | 408 | |||||
CV | |||||||
s | 286 | 883 | |||||
CV | |||||||
Teneur nominale [mg/kg] | 80 | 105 | 120 | 50 | 35 |
Gossypol libre | |
Gossypol total |
15 %, en valeur relative, du résultat supérieur pour les teneurs en gossypol inférieures à 500 ppm, 75 ppm, en valeur absolue, pour les teneurs comprises entre 500 et 750 ppm, 10 %, en valeur relative, du résultat supérieur pour les teneurs dépassant 750 ppm.
Congénère | Valeur TEF | Congénère | Valeur TEF |
---|---|---|---|
Dibenzo-p-dioxines ("PCDD") et Dibenzo-p-furanes ("PCDF") | |||
2,3,7,8-TCDD | 1 | ||
1,2,3,7,8-PeCDD | 1 | PCB non ortho | |
1,2,3,4,7,8-HxCDD | 0,1 | PCB 77 | 0,0001 |
1,2,3,6,7,8-HxCDD | 0,1 | PCB 81 | 0,0003 |
1,2,3,7,8,9-HxCDD | 0,1 | PCB 126 | 0,1 |
1,2,3,4,6,7,8-HpCDD | 0,01 | PCB 169 | 0,03 |
OCDD | 0,0003 | PCB mono ortho | |
2,3,7,8-TCDF | 0,1 | PCB 105 | 0,00003 |
1,2,3,7,8-PeCDF | 0,03 | PCB 114 | 0,00003 |
2,3,4,7,8-PeCDF | 0,3 | PCB 118 | 0,00003 |
1,2,3,4,7,8-HxCDF | 0,1 | PCB 123 | 0,00003 |
1,2,3,6,7,8-HxCDF | 0,1 | PCB 156 | 0,00003 |
1,2,3,7,8,9-HxCDF | 0,1 | PCB 157 | 0,00003 |
2,3,4,6,7,8-HxCDF | 0,1 | PCB 167 | 0,00003 |
1,2,3,4,6,7,8-HpCDF | 0,01 | PCB 189 | 0,00003 |
1,2,3,4,7,8,9-HpCDF | 0,01 | ||
OCDF | 0,0003 |
effectuée selon une méthode de dépistage avec un taux de faux conformes inférieur à 5 %, indique que la teneur ne dépasse pas les limites maximales respectives fixées pour les PCDD/PCDF et la somme des PCDD/PCDF et des PCB de type dioxine dans la directive 2002/32/CE, effectuée selon une méthode de confirmation, ne dépasse pas les teneurs maximales respectives fixées pour les PCDD/PCDF et la somme des PCDD/PCDF et des PCB de type dioxine dans la directive 2002/32/CE, compte tenu de l'incertitude de mesure élargie.
a) Méthodes de dépistage Les méthodes de dépistage servent à sélectionner les échantillons dont les teneurs en PCDD/PCDF et en PCB de type dioxine dépassent les teneurs maximales ou les seuils d'intervention. Elles doivent offrir une grande capacité de traitement d'échantillons à la fois efficace et économique et augmenter la probabilité de découvrir de nouveaux cas d'exposition élevée des consommateurs et de risques pour leur santé. Leur application doit permettre d'éviter les faux conformes. Elles peuvent comprendre des méthodes de bioanalyse et des méthodes de CG-SM. Elles permettent de comparer le résultat d'une analyse avec une valeur seuil et de confirmer ou d'infirmer (réponse positive ou négative) l'éventuel dépassement de la teneur maximale ou du seuil d'intervention. La concentration de PCDD/PCDF et la somme des PCDD/PCDF et des PCB de type dioxine dans les échantillons suspectés de non-conformité à la teneur maximale doivent être déterminées ou confirmées au moyen d'une méthode de confirmation. En outre, les méthodes de dépistage peuvent donner une indication des teneurs en PCDD/PCDF et en PCB de type dioxine des échantillons. En cas d'application de méthodes bioanalytiques de dépistage, le résultat est exprimé en équivalents de bioanalyse (BEQ), alors qu'en cas d'application de méthodes CG-SM physico-chimiques, il est exprimé en équivalents toxiques (TEQ). Les résultats numériques obtenus au moyen de méthodes de dépistage permettent de démontrer la conformité, la suspicion de non-conformité ou le dépassement des seuils d'intervention et donnent une indication sur la plage des teneurs en cas de suivi au moyen de méthodes de confirmation. Ils ne permettent pas, par exemple, d'évaluer les niveaux de bruit de fond, d'estimer l'ingestion, de suivre l'évolution chronologique des teneurs ou de réévaluer les seuils d'intervention et les teneurs maximales. b) Méthodes de confirmation Les méthodes de confirmation permettent l'identification et la quantification univoques des PCDD/PCDF et des PCB de type dioxine présents dans un échantillon et de fournir des informations complètes à l'échelle du congénère. Par conséquent, ces méthodes permettent de contrôler les teneurs maximales et les seuils d'intervention et de confirmer les résultats obtenus au moyen des méthodes de dépistage. En outre, les résultats peuvent servir à d'autres fins, telles que la détermination des faibles niveaux de bruit de fond dans le contrôle des aliments pour animaux, le suivi de l'évolution chronologique, l'évaluation de l'exposition et la création d'une base de données en vue de la réévaluation éventuelle des seuils d'intervention et des teneurs maximales. Ils sont aussi importants pour établir les profils de congénères aux fins de la détermination de la source d'une contamination éventuelle. Ces méthodes reposent sur la chromatographie en phase gazeuse couplée à la spectrométrie de masse haute résolution (CG-SMHR). La chromatographie en phase gazeuse couplée à la spectrométrie de masse en tandem (CG-SM/SM) peut également être utilisée pour confirmer la conformité ou la non-conformité à la teneur maximale.
a) la concentration d'un analyte dans l'extrait d'un échantillon qui produit une réponse instrumentale à deux ions suivis avec un rapport S/B (signal/bruit) de 3:1 pour le signal de données brut le moins intense; ou b) si, pour des raisons techniques, le calcul du rapport signal/bruit ne donne pas des résultats fiables, le point de concentration minimal sur une courbe d'étalonnage qui donne un écart acceptable (≤ 30 %) et cohérent (mesuré au moins au début et à la fin d'une série analytique d'échantillons) par rapport au facteur de réponse relatif moyen calculé pour tous les points de la courbe d'étalonnage de chaque série d'échantillons. La limite de quantification est calculée à partir du point de concentration le plus bas, compte tenu du taux de récupération des étalons internes et du prélèvement d'échantillons.
Dépistage au moyen de méthodes de bioanalyse ou de méthodes physico-chimiques | Méthodes de confirmation | |
---|---|---|
Taux de faux conformes | < 5 % | |
Justesse | De – 20 % à + 20 % | |
Répétabilité (RSD | < 20 % | |
Fidélité intermédiaire (RSD | < 25 % | < 15 % |
Les PCDD/PCDF sont séparés des composés chlorés interférents, tels que les PCB autres que ceux de type dioxine et les diphényléthers chlorés, au moyen de techniques chromatographiques appropriées (de préférence au moyen d'une colonne de florisil, d'alumine et/ou de charbon), La séparation des isomères par chromatographie en phase gazeuse est inférieure à 25 % de pic à pic entre 1,2,3,4,7,8-HxCDF et 1,2,3,6,7,8-HxCDF.
CG-SMHR: En SMHR, la résolution caractéristique doit être égale ou supérieure à 10000 pour toute la plage de masse avec une vallée de 10 %.Les autres critères d'identification et de confirmation sont remplis conformément à des normes internationalement reconnues, telles que la norme EN 16215:2012 (Aliments des animaux — Dosage des dioxines, des PCB de type dioxine et des PCB indicateurs par CG-SMHR) et/ou les méthodes EPA 1613 et 1668 révisées.
CG-SM/SM: Il s'agit de suivre au moins deux ions précurseurs spécifiques et, pour chacun d'eux, un ion de fragmentation spécifique produit pour tous les analytes marqués et non marqués dans le champ d'application de l'analyse. La tolérance autorisée maximale des intensités relatives des ions est de ± 15 % pour les ions de fragmentation sélectionnés par rapport aux valeurs calculées ou mesurées (moyenne des étalons), dans des conditions SM/SM identiques (notamment en ce qui concerne l'énergie de collision et la pression du gaz de collision), pour chaque transition d'un analyte. La résolution de chaque quadrupôle doit être égale ou supérieure à la résolution massique unitaire (résolution massique unitaire: résolution suffisante pour séparer deux pics d'une unité massique) de manière à minimiser les éventuelles interférences avec les analytes considérés. Les autres critères sont remplis conformément à des normes internationalement reconnues, telles que la norme EN 16215:2012 (Aliments des animaux — Dosage des dioxines, des PCB de type dioxine et des PCB indicateurs par CG-SMHR) et/ou les méthodes EPA 1613 et 1668 révisées, sauf pour ce qui concerne l'obligation de recourir à la CG-SMHR.
Le calcul des concentrations à partir d'une courbe d'étalonnage de la TCDD fera apparaître une variation importante (coefficient de variation élevé — CV) des valeurs à l'extrémité supérieure de la courbe. La plage de travail est la zone où ce CV est inférieur à 15 %. L'extrémité inférieure de la plage de travail (seuil d'inscription) doit par ailleurs être établie à un niveau supérieur d'un facteur de trois au moins aux blancs de procédure. L'extrémité supérieure de la plage de travail est habituellement représentée par la valeur EC 70 (70 % de la concentration effective maximale), mais elle se situe à un niveau inférieur si le CV est supérieur à 15 % dans cette plage. La plage de travail est établie pendant la validation. Les valeurs seuil (point 7.3) doivent se situer dans la plage de travail,Les solutions étalon et les extraits d'échantillon doivent être analysés en triple ou au moins en double. En cas d'utilisation de doubles, une solution étalon ou un extrait témoin analysé dans quatre à six puits répartis sur la plaque produisent une réponse ou une concentration (possible uniquement dans la plage de travail) sur la base d'un CV inférieur à 15 %.
Les teneurs dans les échantillons doivent être estimées par comparaison de la réponse à l'essai avec une courbe d'étalonnage de la TCDD (ou du PCB 126 ou d'un mélange type de PCDD/PCDF/PCB de type dioxine) pour calculer la valeur BEQ dans l'extrait et, par la suite, dans l'échantillon, Les courbes d'étalonnage doivent contenir de huit à douze concentrations (au moins en double), la concentration dans la partie inférieure de la courbe (plage de travail) devant être suffisante. Une attention particulière doit être accordée à la qualité de l'ajustement de la courbe dans la plage de travail. La valeur R 2 a peu ou n'a pas de valeur en tant que telle pour l'appréciation de la justesse de l'ajustement en régression non linéaire. La réduction de l'écart entre les valeurs calculées et les valeurs observées dans la plage de travail de la courbe améliorera l'ajustement (la réduction de la somme des résidus au carré, par exemple),Le niveau estimatif dans l'extrait d'échantillon doit ensuite être corrigé de la valeur BEQ calculée pour un échantillon blanc de matrice/de solvant (pour tenir compte des impuretés provenant des solvants et substances chimiques utilisés) et du taux de récupération apparent (calculé à partir de la valeur BEQ d'échantillons de référence adéquats avec des profils de congénères représentatifs proches de la teneur maximale ou du seuil d'intervention). Pour la correction par le taux de récupération, le taux de récupération apparent doit se situer dans les limites de la plage requise (voir point 7.1.4). Les échantillons de référence utilisés pour corriger du taux de récupération doivent respecter les prescriptions énoncées au point 7.2.
1) à partir de la plage inférieure de l'intervalle de prédiction de 95 % à la limite de décision de la méthode de confirmation.2) à partir de l'analyse multiple d'échantillons (n ≥ 6) contaminés à hauteur de la limite de décision de la méthode de confirmation en tant qu'extrémité inférieure de la répartition des données (représentée dans le graphique par une courbe en cloche) à la valeur BEQ moyenne correspondante.
a) deux ions spécifiques pour la SMHR; b) trois ions spécifiques pour la SMBR; c) deux ions précurseurs spécifiques et, pour chacun d'eux, un ion de fragmentation spécifique produit pour la SM-SM.
a) les résultats doivent être corrigés des taux de récupération des étalons internes; b) les taux de récupération des étalons internes marqués d'un isotope doivent se situer entre 60 et 120 %; c) les taux de récupération inférieurs ou supérieurs pour les congénères individuels avec une contribution à la somme des PCB autres que ceux de type dioxine inférieure à 10 % sont acceptables.
a) le taux de récupération du ou des étalons internes doit être mesuré pour chaque échantillon; b) les taux de récupération du ou des étalons internes doivent se situer entre 60 et 120 %; c) les résultats doivent être corrigés des taux de récupération des étalons internes;
Spectrométrie de masse par dilution isotopique | Autres techniques | |
---|---|---|
Justesse | De – 20 % à + 20 % | De – 30 % à + 30 % |
Fidélité intermédiaire (RSD %) | ≤ 15 % | ≤ 20 % |
Différence entre l'estimation supérieure et l'estimation inférieure | ≤ 20 % | ≤ 20 % |
a) pour la détection des constituants d’origine animale provenant d’animaux autres que les invertébrés terrestres, une étape de sédimentation unique dans du tétrachloréthylène (TCE), comme indiqué au point 2.1.3.4.3; b) pour la détection des constituants d’invertébrés terrestres, une étape de double sédimentation dans de l’éther de pétrole et du tétrachloréthylène (EP/TCE), comme indiqué au point 2.1.3.4.4.
Tétrachloréthylène (densité relative 1,62). Éther de pétrole (EP) point d’ébullition: 40-60 °C (densité relative: 0,65).
Solution de rouge d’alizarine (diluer 2,5 ml d’acide chlorhydrique 1 M dans 100 ml d’eau et ajouter 200 mg de rouge d’alizarine à cette solution).
Lessive de soude et de potasse (NaOH à 2,5 % p/v ou KOH à 2,5 % p/v). Glycérol (non dilué, viscosité: 1490 cP) ou un milieu de montage ayant des propriétés équivalentes pour la préparation de lames non permanentes.Norland ® Adhésive optique 65 (viscosité: 1200 cP) ou un milieu de montage ayant des propriétés équivalentes pour la préparation de lames non permanentes.
Solution de lugol (dissoudre 2 g d’iodure de potassium dans 100 ml d’eau et ajouter 1 g d’iode en agitant fréquemment). Réactif cystinique (2 g d’acétate de plomb, 10 g NaOH/100 ml d’eau). Liqueur de Fehling [préparée avant l’utilisation à partir de parts égales (1/1) de deux solutions-mères A et B. Solution A: dissoudre 6,9 g de sulfate de cuivre (II) pentahydraté dans 100 ml d’eau. Solution B: dissoudre 34,6 g de tartrate double de sodium et de potassium tétrahydraté et 12 g de NaOH dans 100 ml d’eau]. Tétraméthylbenzidine/peroxyde d’hydrogène [dissoudre 1 g de 3,3’, 5,5’ tétraméthylbenzidine (TMB) dans 100 ml d’acide acétique glacial et 150 ml d’eau. Avant l’utilisation, mélanger 4 parts de cette solution de TMB avec 1 part de peroxyde d’hydrogène à 3 %].
Éthanol ≥ 96 % (qualité technique). Acétone (qualité technique).
Solution commerciale d’hypochlorite de sodium (9-14 % de chlore actif).
Balance de précision à 0,001 g. Équipement de broyage: broyeur à couteaux ou à rotors. Si un broyeur à rotors est utilisé, les tamis pour broyeur ≤ 0,5 mm sont interdits. Tamis à mailles carrées de 0,25 mm et 1 mm de largeur. À l’exception du prétamisage des échantillons, le diamètre des tamis ne doit pas dépasser 10 cm pour éviter la perte de matières. L’étalonnage des tamis n’est pas requis. Ampoule à décanter conique en verre d’une capacité de 250 ml munie d’un robinet en téflon ou en verre rodé à la base du cône. Le diamètre de l’ouverture du robinet doit être supérieur ou égal à 4 mm. Pour la sédimentation unique TCE uniquement, un bécher de décantation à fond conique peut également être utilisé, à condition que le laboratoire ait démontré que les niveaux de détection sont équivalents à ceux obtenus en utilisant l’ampoule à décanter conique en verre. Ampoule à décanter Microscope stéréoscopique couvrant une plage de grossissement final allant de 6,5 à 40 fois au minimum. Microscope composé à fond clair par éclairage à transmission couvrant une plage de grossissement final allant de 100 à 400 fois au minimum. Un microscope en lumière polarisée, à contraste interférentiel différentiel peut également être utilisé. Verrerie courante de laboratoire. Matériel pour la préparation sur lame: lames de microscope classiques, lames creuses, lamelles (20 × 20 mm), brucelles, spatule fine. Étuve de laboratoire. Centrifugeuse. Papier filtre: filtre qualitatif en cellulose (taille des pores: 4-11 μm).
S’il s’agit de graisse solide, chauffer celle-ci dans un four jusqu’à ce qu’elle devienne liquide. Au moyen d’une pipette, transvaser 40 ml de graisse du fond de l’échantillon dans un tube de centrifugation. L’échantillon doit être centrifugé pendant 10 minutes à 4000 tours/min.Si la graisse s’est solidifiée pendant la centrifugation, la réchauffer au four jusqu’à ce qu’elle redevienne liquide. La centrifugation doit être répétée pendant 5 minutes à 4000 tours/min.À l’aide d’une petite cuillère ou d’une spatule, transvaser une moitié des impuretés obtenues sur des lames microscopiques pour examen. Il est recommandé d’utiliser du glycérol comme milieu de montage. Utiliser les impuretés restantes pour la préparation du résidu, comme décrit au point 2.1.3.4.3, premier tiret.
Extraction et préparation du résidu: Transvaser une portion de 10 g (exactitude de 0,01 g) du sous-échantillon broyé dans l’ampoule à décanter ou le bécher de décantation à fond conique et ajouter 50 ml de tétrachloréthylène. La portion transvasée dans l’ampoule est limitée à 3 g dans le cas des farines de poissons ou d’autres produits d’origine animale purs, d’ingrédients minéraux ou de prémélanges générant plus de 10 % de résidu. Agiter vigoureusement le mélange pendant au moins 30 secondes et ajouter avec précaution 50 ml de tétrachloréthylène en lavant la surface intérieure de l’ampoule pour éliminer les particules adhérentes. Laisser le mélange obtenu se décanter pendant au moins 5 minutes avant de séparer le résidu en ouvrant le robinet. Si un bécher de décantation à fond conique est utilisé, agiter vigoureusement le mélange pendant au moins 15 secondes et laver soigneusement la surface intérieure avec au moins 10 ml de tétrachloréthylène propre pour éliminer les particules adhérant aux parois du bécher. Laisser le mélange se décanter pendant 3 minutes et agiter à nouveau pendant 15 secondes puis laver soigneusement la surface intérieure avec au moins 10 ml de tétrachloréthylène propre pour éliminer les particules adhérant aux parois du bécher. Laisser le mélange obtenu se décanter pendant au moins 5 minutes puis retirer la fraction liquide, l’éliminer en la laissant soigneusement se décanter et en prenant soin de ne rien perdre du résidu. Le résidu doit être recueilli sur du papier-filtre placé dans un entonnoir afin de permettre la séparation du tétrachloréthylène restant tout en évitant le dépôt de matières grasses dans le résidu. Le résidu doit être séché. Il est recommandé de peser ensuite le résidu (avec une exactitude de 0,001 g) pour contrôler l’étape de sédimentation. Enfin, le résidu doit être passé à travers un tamis à mailles de 0,25 mm et les deux fractions obtenues doivent être examinées, sauf si le tamisage n’est pas jugé nécessaire. Extraction et préparation des matières flottantes: Après récupération du résidu au moyen de la méthode décrite ci-dessus, deux phases restent dans l’ampoule à décanter: une phase liquide constituée de tétrachloréthylène et une phase solide constituée de matières flottantes. Cette phase solide (les matières flottantes) est récupérée par le versement complet du tétrachloréthylène hors de l’ampoule en ouvrant le robinet. L’ampoule à décanter doit être retournée, et les matières flottantes doivent être transvasées dans une grande boîte de Pétri et séchées à l’air dans une hotte de laboratoire. Elle est tamisée à 0,25 mm et les deux fractions qui en résultent sont examinées. Utilisation de réactifs de coloration Pour faciliter l’identification correcte des constituants d’origine animale, l’opérateur peut utiliser des réactifs de coloration au cours de la préparation de l’échantillon, conformément aux orientations formulées par le laboratoire de référence de l’Union européenne pour la détection de protéines animales dans les aliments pour animaux et publiées sur son site web. Si la solution de rouge d’alizarine est utilisée pour la coloration du résidu, le protocole suivant doit être appliqué: Transvaser le résidu séché dans une éprouvette en verre et le rincer deux fois avec environ 5 ml d’éthanol (agiter chaque fois au vortex pendant 30 secondes, laisser le solvant se décanter pendant environ 1 minute 30 secondes puis l’éliminer). Blanchir le résidu avec au moins 1 ml de solution d’hypochlorite de sodium. Laisser réagir pendant 10 minutes; remplir l’éprouvette d’eau, laisser le résidu se décanter pendant 2 à 3 minutes puis éliminer doucement l’eau et les particules en suspension. Rincer deux fois le résidu avec environ 10 ml d’eau (agiter au vortex pendant 30 secondes, laisser se décanter et, chaque fois, éliminer l’eau). Ajouter 2 à 10 gouttes de solution de rouge d’alizarine et agiter le mélange au vortex. Laisser réagir pendant 30 secondes et rincer deux fois le résidu coloré avec environ 5 ml d’éthanol, puis une nouvelle fois avec de l’acétone (agiter chaque fois au vortex pendant 30 secondes, laisser le solvant se décanter environ une minute puis l’éliminer). Sécher le résidu coloré.
Une portion de 10 g (précision à 0,01 g) du sous-échantillon broyé est transférée dans l’ampoule à décanter et soumise d’abord à une sédimentation unique TCE, comme décrit au point 2.1.3.4.3, avec récupération du résidu sur un papier-filtre placé sur un entonnoir. Ce résidu peut être utilisé comme indiqué au point 2.1.3.4.3. Le petit volume de TCE qui s’est écoulé avec le résidu doit être transféré dans une éprouvette graduée. En ouvrant le robinet de l’ampoule à décanter, remplir l’éprouvette graduée jusqu’à obtention de 30 ml de TCE. Une fois ce volume atteint, le robinet d’arrêt est fermé. Ce volume de TCE collecté est remplacé en ajoutant un volume de 30 ml d’éther de pétrole dont le point d’ébullition est compris entre 40 °C et 60 °C dans l’ampoule à décanter. Le contenu de l’ampoule à décanter doit être soigneusement mélangé pour obtenir un mélange 30 % EP/70 % TCE (avec une densité d’environ 1,26 g.cm -3 ). Laisser reposer la matière pendant 10 min. Deux nouvelles fractions se formeront: un deuxième résidu et les matières flottantes finales (< 1,26 g.cm-3 ). Le deuxième résidu doit être récupéré dans une boîte de Petri (ou un papier-filtre placé sur un entonnoir) en ouvrant le robinet jusqu’à ce que seul un peu de mélange des solvants et les matières flottantes finales restent dans l’ampoule à décanter. Le liquide restant et les matières flottantes finales sont collectés séparément sur un papier-filtre placé sur un entonnoir. La paroi de l’ampoule à décanter doit être rincée avec de l’éther de pétrole afin de recueillir toutes les matières flottantes finales. On laisse sécher les matières flottantes finales. Enfin, les matières flottantes finales doivent être passées à travers un tamis à mailles de 0,25 mm et les deux fractions obtenues doivent être examinées aux fins de la détection de constituants d’invertébrés terrestres, sauf si le tamisage n’est pas jugé nécessaire.
"L’échantillon soumis à l’analyse ne contient aucune particule dérivée de vertébrés terrestres détectable au microscope optique." "L’échantillon soumis à l’analyse ne contient aucune particule dérivée de poisson détectable au microscope optique." "L’échantillon soumis à l’analyse ne contient aucune particule dérivée d’invertébrés terrestres détectable au microscope optique."
"L’échantillon soumis à l’analyse ne contient pas plus de 5 particules dérivées de vertébrés terrestres détectables au microscope optique. Les particules ont été identifiées comme étant... [de l’os, du cartilage, du muscle, des poils, de la corne, autre chose (préciser de quoi il s’agit)]. Cette présence faible est inférieure à la limite de décision fixée pour cette méthode d’examen au microscope." "L’échantillon soumis à l’analyse ne contient pas plus de 5 particules dérivées de poisson détectables au microscope optique. Les particules ont été identifiées comme étant... [des arêtes, des écailles de poisson, du cartilage, du muscle, des otolithes, des branchies, autre chose (préciser de quoi il s’agit)]. Cette présence faible est inférieure à la limite de décision fixée pour cette méthode d’examen au microscope."
"L’échantillon soumis à l’analyse dans le cadre de deux déterminations ne contient pas plus de 10 particules dérivées de vertébrés terrestres détectables au microscope optique. Les particules ont été identifiées comme étant... [de l’os, du cartilage, du muscle, des poils, de la corne, autre chose (préciser de quoi il s’agit)]. Cette présence faible est inférieure à la limite de décision fixée pour cette méthode d’examen au microscope." "L’échantillon soumis à l’analyse dans le cadre de deux déterminations ne contient pas plus de 10 particules dérivées de poisson détectables au microscope optique. Les particules ont été identifiées comme étant... [des arêtes, des écailles de poisson, du cartilage, du muscle, des otolithes, des branchies, autre chose (préciser de quoi il s’agit)]. Cette présence faible est inférieure à la limite de décision fixée pour cette méthode d’examen au microscope." "L’échantillon soumis à l’analyse dans le cadre de deux déterminations ne contient pas plus de 10 particules dérivées d’invertébrés terrestres détectables au microscope optique. Les particules ont été identifiées comme étant... [des fragments de cuticules, des parties de bouche, du muscle, des structures trachéales, autre chose (préciser de quoi il s’agit)]. Cette présence faible est inférieure à la limite de décision fixée pour cette méthode d’examen au microscope."
En cas de prétamisage de l’échantillon, le rapport de laboratoire doit mentionner la fraction (fraction tamisée, fraction de granulés ou de bouchons) dans laquelle les particules animales ont été détectées, dans la mesure où seule la détection de particules animales dans la fraction tamisée peut être le signe d’une contamination de l’environnement. Lorsque seules sont détectées des particules animales qui ne peuvent pas être classées comme provenant de vertébrés terrestres ou de poissons (par exemple, des fibres musculaires), le rapport doit indiquer que seules de telles particules animales ont été détectées et qu’il ne peut être exclu qu’elles proviennent de vertébrés terrestres.
"L’échantillon soumis à l’analyse contient plus de 5 particules dérivées de vertébrés terrestres détectables au microscope optique. Les particules ont été identifiées comme étant... [de l’os, du cartilage, du muscle, des poils, de la corne, autre chose (préciser de quoi il s’agit)]." "L’échantillon soumis à l’analyse contient plus de 5 particules dérivées de poisson détectables au microscope optique. Les particules ont été identifiées comme étant... [des arêtes, des écailles de poisson, du cartilage, du muscle, des otolithes, des branchies, autre chose (préciser de quoi il s’agit)]." "L’échantillon soumis à l’analyse contient plus de 5 particules dérivées d’invertébrés terrestres détectables au microscope optique. Les particules ont été identifiées comme étant... [des fragments de cuticules, des parties de bouche, du muscle, des structures trachéales, autre chose (préciser de quoi il s’agit)]."
"L’échantillon soumis à l’analyse dans le cadre de deux déterminations contient plus de 10 particules dérivées de vertébrés terrestres détectables au microscope optique. Les particules ont été identifiées comme étant... [de l’os, du cartilage, du muscle, des poils, de la corne, autre chose (préciser de quoi il s’agit)]." "L’échantillon soumis à l’analyse dans le cadre de deux déterminations contient plus de 10 particules dérivées de poisson détectables au microscope optique. Les particules ont été identifiées comme étant... [des arêtes, des écailles de poisson, du cartilage, du muscle, des otolithes, des branchies, autre chose (préciser de quoi il s’agit)]." "L’échantillon soumis à l’analyse dans le cadre de deux déterminations contient plus de 10 particules dérivées d’invertébrés terrestres détectables au microscope optique. Les particules ont été identifiées comme étant... [des fragments de cuticules, des parties de bouche, du muscle, des structures trachéales, autre chose (préciser de quoi il s’agit)]."
En cas de prétamisage de l’échantillon, le rapport de laboratoire doit mentionner la fraction (fraction tamisée, fraction de granulés ou de bouchons) dans laquelle les particules animales ont été détectées, dans la mesure où seule la détection de particules animales dans la fraction tamisée peut être le signe d’une contamination de l’environnement. Lorsque seules sont détectées des particules animales qui ne peuvent pas être classées comme provenant de vertébrés terrestres ou de poissons (par exemple, des fibres musculaires), le rapport doit indiquer que seules de telles particules animales ont été détectées et qu’il ne peut être exclu qu’elles proviennent de vertébrés terrestres.
un témoin d’extraction à blanc, un témoin positif d’extraction de l’ADN.
un témoin positif de l’ADN cible doit être utilisé pour chaque plaque ou série d’épreuves PCR, un témoin du réactif d’amplification (également appelé "témoin négatif") doit être utilisé pour chaque plaque ou série d’épreuves PCR.
pour le dosage des matières grasses brutes: le procédé B de la méthode de dosage des matières grasses brutes, prévu à l'annexe III, partie H, pour le dosage de l'amidon: la méthode polarimétrique, prévue à l'annexe III, partie L.
colonne de chromatographie liquide (4.4.1), phase mobile de la CLHP: mélange méthanol-eau (3.3), débit: 1 à 1,5 ml/min,longueur d'onde de détection: 265 nm, volume injecté: 20 à 50 μl.
a) les longueurs d'onde d'absorption maximale des spectres de l'échantillon et de l'étalon, enregistrées au sommet des pics sur le chromatogramme, doivent être identiques, dans une marge déterminée par le pouvoir de résolution du système de détection. Dans le cadre d'une détection par barrettes de diodes, elle est généralement de plus ou moins 2 nm; b) entre 220 et 350 nm, les spectres de l'échantillon et de l'étalon, enregistrés au sommet du pic sur le chromatogramme, ne doivent pas être différents pour les parties du spectre comprises entre 10 et 100 % de densité optique relative. Ce critère est rempli lorsque les mêmes maxima sont présents et que l'écart observé entre les deux spectres ne dépasse nulle part 15 % de densité optique de l'analyte étalon; c) entre 220 et 350 nm, les spectres de la courbe ascendante, du sommet et de la courbe descendante du pic fourni par l'extrait d'échantillon ne peuvent être visuellement différents les uns des autres pour les parties du spectre comprises entre 10 et 100 % de densité optique relative. Ce critère est rempli lorsque les mêmes maxima sont présents et que l'écart observé entre les spectres ne dépasse nulle part 15 % de la densité optique du spectre au sommet du pic.
Blanc | Farine 1 | Granulés 1 | Farine 2 | Granulés 2 | |
---|---|---|---|---|---|
Moyenne [mg/kg] | ND | ||||
s | — | ||||
CV | — | ||||
s | — | ||||
CV | — | ||||
Récupération [%] | — |
Colonne d'analyse (4.3.1) | |
Phase mobile (3.4): | mélange d'eau (3.3) et de méthanol (3.2), 900 + 100 (v + v) |
Débit: | |
Longueur d'onde de détection: | 380 nm |
Volume d'injection: | 20 μl-100 μl |
a) les longueurs d'onde d'absorption maximale des spectres de l'échantillon et de l'étalon, enregistrées au sommet des pics sur le chromatogramme, doivent être identiques, dans une marge déterminée par le pouvoir de résolution du système de détection. Dans le cadre d'une détection par barrettes de diodes, elle est généralement de ± 2 nm; b) entre 220 et 400 nm, les spectres de l'échantillon et de l'étalon enregistrés au sommet du pic sur le chromatogramme ne doivent pas être différents pour les parties du spectre situées entre 10 et 100 % de l'absorbance relative. Ce critère est rempli lorsque les mêmes maxima sont présents et que, en aucun point, l'écart observé entre les deux spectres ne dépasse 15 % de l'absorbance de l'analyte étalon; c) entre 220 en 400 nm, les spectres de la courbe ascendante, du sommet et de la courbe descendante du pic produits par l'extrait d'échantillon ne doivent pas être différents les uns des autres pour les parties du spectre situées entre 10 et 100 % de l'absorbance relative. Ce critère est rempli lorsque les mêmes maxima sont présents et que, en aucun point, l'écart observé entre les spectres ne dépasse 15 % de l'absorbance du spectre au sommet du pic.
Échantillon 1 | Échantillon 2 | Échantillon 3 | Échantillon 4 | |
---|---|---|---|---|
L | 13 | 10 | 11 | 11 |
n | 40 | 40 | 44 | 44 |
Moyenne [mg/kg] | — | |||
S | — | |||
S | — | |||
CV | — | |||
CV | — | |||
Teneur nominale | ||||
[mg/kg] | — | 15 | 50 | 100 |
Récupération % | — |
Colonne de chromatographie | |
liquide (4.1.1): | 125 mm × 4 mm avec échange de cations avec Nucleosil 10 SA de 5 ou de 10 μm, ou équivalent |
Phase mobile (3.6): | mélange d'acétonitrile (3.2), de solution de phosphate monosodique (3.4) et de solution de perchlorate de sodium (3.5), 450 + 450 + 100 (v + v + v) |
Débit: | |
Longueur d'onde de détection: | 264 nm |
Volume d'injection: | 100 μl |
a) les longueurs d'onde d'absorption maximale des spectres de l'échantillon et de l'étalon, enregistrées au sommet des pics sur le chromatogramme, doivent être identiques, dans une marge déterminée par le pouvoir de résolution du système de détection. Dans le cadre d'une détection par barrettes de diodes, elle est généralement de ± 2 nm; b) entre 210 et 320 nm, les spectres de l'échantillon et de l'étalon enregistrés au sommet du pic sur le chromatogramme ne doivent pas être différents pour les parties du spectre situées entre 10 et 100 % de l'absorbance relative. Ce critère est rempli lorsque les mêmes maxima sont présents et que, en aucun point, l'écart observé entre les deux spectres ne dépasse 15 % de l'absorbance de l'analyte étalon; c) entre 210 et 320 nm, les spectres de la courbe ascendante, du sommet et de la courbe descendante du pic produits par l'extrait d'échantillon ne doivent pas être différents les uns des autres pour les parties du spectre situées entre 10 et 100 % de l'absorbance relative. Ce critère est rempli lorsque les mêmes maxima sont présents et que, en aucun point, l'écart observé entre les spectres ne dépasse 15 % de l'absorbance du spectre au sommet du pic.
15 % du résultat supérieur pour les teneurs en amprolium comprises entre 25 et 500 mg/kg, 75 mg/kg pour les teneurs en amprolium comprises entre 500 et 1000 mg/kg,7,5 % du résultat supérieur pour les teneurs en amprolium supérieures à1000 mg/kg.
Échantillon 1 (aliment blanc) | Échantillon 2 | Échantillon 3 | Échantillon 4 | Échantillon 5 | |
---|---|---|---|---|---|
L | 14 | 14 | 14 | 14 | 15 |
n | 56 | 56 | 56 | 56 | 60 |
Moyenne [mg/kg] | — | 188 | |||
s | — | 178 | 550 | ||
CVr [%] | — | ||||
s | — | 266 | 760 | ||
CV | — | ||||
Teneur nominale [mg/kg] | — | 50 | 200 |
Colonne de chromatographie liquide (4.4.1): | |
300 mm × 4 mm, C | |
Phase mobile (3.10): | Mélange de solution tampon à l'acétate (3.9) et d'acétonitrile (3.2), 825 + 175 (v + v) |
Débit: | |
Longueur d'onde de détection: | 365 nm |
Volume d'injection: | 20 μl |
a) les longueurs d'onde d'absorption maximale des spectres de l'échantillon et de l'étalon, enregistrées au sommet des pics sur le chromatogramme, doivent être identiques, dans une marge déterminée par le pouvoir de résolution du système de détection. Pour la détection par barrettes de diodes, elle est généralement de ± 2 nm; b) entre 225 et 400 nm, les spectres de l'échantillon et de l'étalon, enregistrés au sommet des pics sur le chromatogramme, ne peuvent être différents pour les parties du spectre comprises entre 10 et 100 % d'absorbance relative. Ce critère est rempli lorsque les mêmes maxima sont présents et que l'écart observé entre les deux spectres ne dépasse nulle part 15 % de l'absorbance de l'analyte étalon; c) entre 225 en 400 nm, les spectres de la courbe ascendante, du sommet et de la courbe descendante du pic produits par l'extrait d'échantillon ne doivent pas être différents les uns des autres pour les parties du spectre situées entre 10 et 100 % de l'absorbance relative. Ce critère est rempli lorsque les mêmes maxima sont présents et que l'écart observé entre les spectres ne dépasse nulle part 15 % de l'absorbance du spectre au sommet du pic.
Échantillon 1 | Échantillon 2 | Échantillon 3 | Échantillon 4 | Échantillon 5 | Échantillon 6 | |
---|---|---|---|---|---|---|
L | 8 | 8 | 8 | 8 | 8 | 8 |
n | 15 | 14 | 15 | 15 | 15 | 15 |
Moyenne (mg/kg) | ||||||
S | ||||||
CV | ||||||
S | ||||||
CV | ||||||
Teneur nominale (mg/kg) |
Prémélanges | Préparations | ||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|
A | B | C | D | A | B | C | |
L | 7 | 7 | 7 | 7 | 8 | 8 | 8 |
n | 14 | 14 | 14 | 14 | 16 | 16 | 16 |
Moyenne (g/kg) | 104 | ||||||
S | |||||||
CV | |||||||
S | |||||||
CV | |||||||
Teneur nominale (g/kg) | 100 | 100 | 100 |
Directive 71/250/CEE | Le présent règlement |
---|---|
Article 1 | Article 3 |
Article 1 | Article 2 |
Article 2 | — |
Article 3 | — |
Annexe, point 1 | Annexe II |
Annexe, point 2 | — |
Annexe, point 3 | — |
Annexe, point 4 | Annexe III, point O |
Annexe, point 5 | Annexe III, point M |
Annexe, point 6 | Annexe III, point N |
Annexe, point 7 | Annexe III, point Q |
Annexe, point 9 | Annexe III, point K |
Annexe, point 10 | — |
Annexe, point 11 | — |
Annexe, point 12 | Annexe III, point J |
Annexe, point 14 | Annexe III, point D |
Annexe, point 16 | — |
Directive 71/393/CEE | Le présent règlement |
---|---|
Article 1 | Article 3 |
Article 2 | — |
Article 3 | — |
Annexe, point 1 | Annexe III, point A |
Annexe, point 2 | Annexe III, point E |
Annexe, point 3 | Annexe III, point P |
Annexe, point 4 | Annexe III, point H |
Directive 72/199/CEE | Le présent règlement |
---|---|
Article 1 | Article 3 |
Article 2 | — |
Article 3 | — |
Article 4 | — |
Annexe I, point 1 | Annexe III, point L |
Annexe I, point 2 | Annexe III, point C |
Annexe I, point 3 | — |
Annexe I, point 4 | — |
Annexe I, point 5 | Annexe V, point A |
Annexe II | — |
Directive 73/46/CEE | Le présent règlement |
---|---|
Article 1 | Article 3 |
Article 3 | — |
Article 4 | — |
Annexe I, point 1 | Annexe III, point B |
Annexe I, point 2 | — |
Annexe I, point 3 | Annexe III, point I |
Directive 76/371/CEE | Le présent règlement |
---|---|
Article 1 | Article 1 |
Article 2 | — |
Article 3 | — |
Annexe | Annexe I |
Directive 76/372/CEE | Le présent règlement |
---|---|
Article 1 | — |
Article 2 | — |
Article 3 | — |
Annexe | — |
Directive 78/633/CEE | Le présent règlement |
---|---|
Article 1 | Article 3 |
Article 2 | — |
Article 3 | — |
Annexe, point 1 | — |
Annexe, point 2 | — |
Annexe, point 3 | Annexe IV, point C |
Directive 81/715/CEE | Le présent règlement |
---|---|
Article 1 | — |
Article 2 | — |
Article 3 | — |
Annexe | — |
Directive 84/425/CEE | Le présent règlement |
---|---|
Article 1 | — |
Article 2 | — |
Article 3 | — |
Annexe | — |
Directive 86/174/CEE | Le présent règlement |
---|---|
Article 1 | Article 4 |
Article 2 | — |
Article 3 | — |
Annexe | Annexe VII |
Directive 93/70/CEE | Le présent règlement |
---|---|
Article 1 | Article 3 |
Article 2 | — |
Article 3 | — |
Annexe | Annexe IV, point D |
Directive 93/117/CE | Le présent règlement |
---|---|
Article 1 | Articles 3 et 5 |
Article 2 | — |
Article 3 | — |
Annexe, point 1 | Annexe IV, point E |
Annexe, point 2 | Annexe VIII, point A |
Directive 98/64/CE | Le présent règlement |
---|---|
Article 1 | Articles 3 et 5 |
Article 2 | — |
Article 3 | — |
Article 4 | — |
Annexe, partie A | Annexe III, point F |
Annexe, partie C | Annexe VIII, point B |
Directive 1999/27/CE | Le présent règlement |
---|---|
Article 1 | Articles 3 et 5 |
Article 2 | — |
Article 3 | — |
Article 4 | — |
Article 5 | — |
Article 6 | — |
Article 7 | — |
Annexe, partie A | Annexe VIII, point C |
Annexe, partie B | Annexe IV, point F |
Annexe, partie C | Annexe VIII, point D |
Directive 1999/76/CE | Le présent règlement |
---|---|
Article 1 | Article 3 |
Article 2 | — |
Article 3 | — |
Article 4 | — |
Annexe | Annexe IV, point G |
Directive 2000/45/CE | Le présent règlement |
---|---|
Article 1 | Article 3 |
Article 2 | — |
Article 3 | — |
Article 4 | — |
Annexe, partie A | Annexe IV, point A |
Annexe, partie B | Annexe IV, point B |
Annexe, partie C | Annexe III, point G |
Directive 2002/70/CE | Le présent règlement |
---|---|
Article 1 | Article 1 |
Article 2 | Articles 2 et 3 |
Article 3 | — |
Article 4 | — |
Article 5 | — |
Annexe I | Annexe I et Annexe V, point B.I |
Annexe II | Annexe II et Annexe V, point B.II |
Directive 2003/126/CE | Le présent règlement |
---|---|
Article 1 | Article 3 |
Article 2 | — |
Article 3 | — |
Article 4 | — |
Article 5 | — |
Article 6 | — |
Annexe | Annexe VI |
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