Commission Regulation (EU) No 544/2011 of 10 June 2011 implementing Regulation (EC) No 1107/2009 of the European Parliament and of the Council as regards the data requirements for active substances Text with EEA relevance
1.1. comprendre un dossier technique fournissant les informations nécessaires pour l’évaluation des risques prévisibles, immédiats ou à plus long terme, que la substance active peut comporter pour l’homme, les animaux et l’environnement et contenant au moins les résultats des études visées ci-après; 1.2. le cas échéant, être recueillies conformément à la version la plus récente des lignes directrices visées ou décrites dans la présente annexe; pour les études commencées avant l’entrée en vigueur de la modification de la présente annexe, les informations doivent être recueillies conformément à des lignes directrices adéquates, validées à l’échelon national ou international, ou, en leur absence, à des lignes directrices acceptées par l’autorité compétente; 1.3. comprendre, si la ligne directrice ne convient pas ou n’est pas décrite, ou si l’on a utilisé une ligne directrice autre que celles qui sont visées dans la présente annexe, une justification de la ligne directrice utilisée qui soit acceptable pour l’autorité compétente. En particulier lorsqu’il est fait référence dans la présente annexe à une méthode établie dans le règlement (CE) n o 440/2008 de la Commission qui est la transposition d’une méthode mise au point par une organisation internationale (par exemple, l’OCDE), les États membres peuvent accepter que les informations requises soient recueillies conformément à la version la plus récente de cette méthode si, au début des études, la méthode établie selon le règlement (CE) nJO L 142 du 31.5.2008, p. 1 .o 440/2008 n’a pas encore été mise à jour;1.4. comprendre, si l’autorité compétente l’exige, une description exhaustive des lignes directrices utilisées, à moins qu’il n’y soit fait référence ou qu’elles soient décrites dans la présente annexe, ainsi qu’une description complète de toute variante ainsi que sa justification, acceptable pour l’autorité compétente; 1.5. comprendre un rapport exhaustif et impartial des études menées ainsi que leur description complète ou une justification acceptable pour l’autorité compétente: lorsque certaines données ou informations particulières qui ne semblent pas nécessaires en raison de la nature de la substance ou des utilisations qui en sont proposées ne sont pas fournies, ou s’il n’est pas scientifiquement nécessaire ou techniquement possible de fournir les informations et les données;
1.6. le cas échéant, avoir été recueillies conformément aux dispositions de la directive 86/609/CEE du Conseil .JO L 358 du 18.12.1986, p. 1 .
dénomination chimique conformément à la nomenclature de l’UICPA et des CA, nom commun ISO ou nom commun proposé, s’il est disponible, numéro CAS, numéro CE (Einecs ou Elincs) et numéro CIMAC, s’ils sont disponibles, formule moléculaire et formule développée, masse moléculaire et teneur maximale en g/kg.
dénomination chimique conformément à la nomenclature de l’UICPA et des CA, nom commun ISO ou nom commun proposé, s’il est disponible, numéro CAS, numéro CE (Einecs ou Elincs) et numéro CIMAC, s’ils sont disponibles, formule moléculaire et formule développée, masse moléculaire et teneur maximale en g/kg.
dénomination chimique conformément à la nomenclature de l’UICPA et des CA, nom commun ISO ou nom commun proposé, s’il est disponible, numéro CAS, numéro CE (Einecs ou Elincs) et numéro CIMAC, s’ils sont disponibles, formule moléculaire et formule développée, masse moléculaire et teneur maximale en g/kg.
agent antimoussant, antigel, liant, stabilisant, tampon, agent dispersant, autres (à préciser).
de recenser les dangers physiques, chimiques et techniques liés aux substances actives, de classer les substances actives sur le plan du danger, de choisir les restrictions et conditions appropriées à associer à l’approbation de substances et de spécifier les mentions de danger et les conseils de prudence appropriés.
hydrocarbure aliphatique: de préférence n-heptane, hydrocarbure aromatique: de préférence xylène, hydrocarbure halogéné: de préférence 1,2-dichloro-éthane, alcool: de préférence méthanol ou alcool isopropylique, cétone: de préférence acétone, ester: de préférence acétate d’éthyle.
acaricide, bactéricide, fongicide, herbicide, insecticide, molluscicide, nématicide, régulateur de croissance végétale, répulsif, rodenticide, médiateur chimique, taupicide, virucide, autres (à préciser).
action par contact, action par ingestion, action par inhalation, action fongitoxique, action fongistatique, déshydratant, inhibiteur de la reproduction, autres (à préciser).
utilisation au champ (agriculture, horticulture, sylviculture, viticulture, etc.) cultures protégées (serre), jardins publics, désherbage des terres non cultivées, jardins domestiques, plantes d’intérieur, stockage de produits végétaux, autres (à préciser).
dénomination chimique conformément à la nomenclature de l’UICPA et des CA, nom commun ISO ou nom commun proposé, numéro CAS, numéro CE (Einecs et Elincs) et numéro CIMAC, s’il est disponible, formule empirique et formule développée et masse moléculaire.
les procédés, mécanismes et réactions en cause, les données cinétiques et autres données concernant la vitesse de conversion et, si elle est connue, l’étape cinétiquement déterminante, les facteurs environnementaux et ceux ayant une incidence sur la vitesse et l’importance de la conversion.
Impuretés, métabolites, métabolites pertinents | telles que définies dans le règlement (CE) n |
Impuretés pertinentes | impuretés préoccupantes sur le plan toxicologique et/ou écotoxicologique ou environnemental, |
Impuretés significatives | impuretés représentant une quantité dans la substance active technique égale ou supérieure à 1 g/kg. |
i) des étalons pour l’analyse de la substance active pure; ii) des échantillons de la substance active technique; iii) des étalons pour l’analyse des métabolites pertinents et de tous les autres composants compris dans la définition de résidu; iv) s’ils sont disponibles, des échantillons des substances de référence pour les impuretés pertinentes.
permettre une décision quant à l’approbation éventuelle de la substance active, fixer les conditions ou restrictions appropriées liées à toute approbation, classer la substance active en fonction du danger, fixer une dose journalière acceptable (DJA) pertinente pour l’homme, fixer des niveaux acceptables d’exposition de l’opérateur (NAEO), fixer les pictogrammes, les mentions d’avertissements et les mentions de danger et conseils de prudence appropriés pour la protection de l’homme, des animaux et de l’environnement à faire figurer sur l’emballage (récipients), définir les mesures de premiers soins adéquates ainsi que les mesures appropriées concernant le diagnostic et les traitements thérapeutiques en cas d’empoisonnement chez l’homme et permettre une évaluation concernant la nature et l’ampleur des risques pour l’homme, les animaux (espèces normalement nourries et élevées ou consommées par l’homme) et des risques pour d’autres espèces de vertébrés non ciblées.
une évaluation du taux et de l’importance de l’absorption, une évaluation de la distribution dans les tissus et du taux ainsi que de l’importance de l’excrétion de la substance soumise aux essais et des métabolites pertinents, l’identification des métabolites et du schéma métabolique.
la toxicité de la substance active, l’évolution au cours du temps et les caractéristiques des effets avec des détails exhaustifs sur les modifications comportementales et les éventuelles constatations macropathologiques à l’inspection post mortem, si possible, le mode d’action toxique et le danger relatif lié aux diverses voies d’exposition.
est un gaz, notamment liquéfié, doit être utilisée comme fumigant, doit être incorporée dans une préparation fumigène, aérosolisée ou vaporifère, doit être utilisée à l’aide d’un équipement de nébulisation, a une pression de vapeur > 1 × 10 –2 Pa et doit être incorporée dans des préparations à utiliser dans des espaces clos tels que des magasins ou des serres,doit être incorporée dans des préparations pulvérulentes contenant une proportion significative de particules d’un diamètre < 50 μm (> 1 % en masse) ou doit être incorporée dans des préparations à appliquer selon un procédé produisant une proportion significative de particules ou de gouttelettes d’un diamètre < 50 μm (> 1 % en masse).
la relation entre la dose et les effets nocifs, la toxicité de la substance active, y compris, si possible, la DSENO, les organes ciblés, le cas échéant, l’évolution au cours du temps et les caractéristiques de l’empoisonnement avec des détails exhaustifs sur les modifications comportementales et les éventuelles constatations pathologiques à l’inspection post mortem, les effets toxiques particuliers et les changements pathologiques produits, le cas échéant, la persistance et la réversibilité de certains effets toxiques observés, à la suite d’une interruption d’administration, si possible, le mode d’action toxique et le danger relatif lié aux diverses voies d’exposition.
étude de toxicité par voie cutanée sur 28 jours: annexe du règlement (CE) n o 440/2008, méthode B 9, toxicité à doses répétées (administration cutanée),étude de toxicité par voie cutanée sur 90 jours: annexe du règlement (CE) n o 440/2008, méthode B 28, toxicité cutanée subchronique,étude de toxicité par inhalation sur 28 jours: annexe du règlement (CE) n o 440/2008, méthode B 8, toxicité à doses répétées (inhalation),étude de toxicité par inhalation sur 90 jours: annexe du règlement (CE) n o 440/2008, méthode B 29, toxicité subchronique par inhalation.
la prédiction du pouvoir génotoxique, l’identification précoce des cancérogènes génotoxiques, l’explication du mécanisme d’action de certains cancérogènes.
annexe du règlement (CE) n o 440/2008, méthode B 13/14 — essai de mutation réverse sur bactéries,annexe du règlement (CE) n o 440/2008, méthode B 10 — essaiin vitro d’aberration chromosomique sur cellules de mammifère,annexe du règlement (CE) n o 440/2008, méthode B 17 — essaiin vitro de mutation génique sur cellules de mammifère.
annexe du règlement (CE) n o 440/2008, méthode B 12 — essaiin vivo du micronoyau sur érythrocytes de mammifère,annexe du règlement (CE) n o 440/2008, méthode B 24 — spot test chez la souris,annexe du règlement (CE) n o 440/2008, méthode B 11 — essaiin vivo d’aberration chromosomique sur moelle osseuse de mammifère.
détecter les effets nocifs résultant de l’exposition à la substance active, identifier les organes ciblés, le cas échéant, établir la relation dose-réponse, déceler les changements dans les signes et les manifestations de toxicité observés et fixer la DSENO.
mettre en évidence les effets cancérogènes résultant de l’exposition à la substance active, déterminer la spécificité des espèces et des organes touchés par les tumeurs induites, établir la relation dose-réponse et pour les cancérogènes non génotoxiques, déterminer la dose maximale sans effet nocif (dose seuil).
l’identification de l’espèce et de la souche, le nom du fournisseur et l’identification de la colonie spécifique si le fournisseur est implanté dans plusieurs sites géographiques, le nom du laboratoire et les dates auxquelles l’étude a été réalisée, la description des conditions générales dans lesquelles les animaux ont été maintenus, y compris le type ou la marque de la ration alimentaire et, si possible, les quantités consommées, l’âge approximatif, exprimé en jours, des animaux témoins au début de l’étude et à la date de sacrifice des animaux ou de leur mort, la description du schéma de mortalité du groupe témoin constaté pendant ou à la fin de l’étude et d’autres observations pertinentes (par exemple, maladies, infections), le nom du laboratoire et des experts scientifiques chargés de la réalisation de l’étude et de la collecte et de l’interprétation des données pathologiques relatives à l’étude et une déclaration relative à la nature des tumeurs qui peuvent avoir été combinées pour produire une quelconque des données d’incidence.
troubles de la fertilité (mâles ou femelles), et effets sur le développement normal de la descendance (toxicité du développement).
l’identification de l’espèce et de la souche, le nom du fournisseur et l’identification de la colonie spécifique si le fournisseur est implanté dans plusieurs sites géographiques, le nom du laboratoire et les dates auxquelles l’étude a été réalisée, la description des conditions générales dans lesquelles les animaux ont été maintenus, y compris le type ou la marque de la ration alimentaire et, si possible, les quantités consommées, l’âge approximatif, exprimé en jours, des animaux témoins au début de l’étude et à la date de sacrifice des animaux ou de leur mort, la description du schéma de mortalité du groupe témoin constaté pendant ou à la fin de l’étude et d’autres observations pertinentes (par exemple, maladies, infections) et le nom du laboratoire et des experts scientifiques chargés de la réalisation de l’étude et de la collecte et de l’interprétation des données toxicologiques relatives à l’étude.
détecter les effets directs et indirects sur la reproduction d’une exposition à la substance active, mesurer toute aggravation des effets toxiques globaux (constatés lors des essais de toxicité chronique et à court terme), fixer la relation dose-réponse, déceler les changements dans les signes et les manifestations de toxicité observés et fixer la DSENO.
données séparées pour les mâles et les femelles, données des trois segments, essai de létalité dominante pour la fertilité des mâles, accouplements croisés de mâles traités avec des femelles non traitées et vice-versa, effets sur la spermatogenèse, effets sur l’ovogenèse, motilité, mobilité et morphologie des spermatozoïdes et étude de l’activité hormonale.
détecter les effets directs et indirects sur le développement de l’embryon et du fœtus à la suite d’une exposition à la substance active, relever toute toxicité chez la mère, établir la relation entre les réactions observées et la dose tant chez la femelle que dans sa descendance, déceler les changements de signes et de manifestations de toxicité observés et fixer la DSENO.
des études sur l’absorption, la distribution, l’excrétion et le métabolisme, l’étude du potentiel neurotoxique, l’étude du potentiel immunotoxicologique, des études sur d’autres voies d’administration.
l’incidence de la nature, du degré et de la durée de l’exposition ou de l’ingestion, et les diverses durées entre l’exposition ou l’ingestion et le commencement du traitement.
permettre une décision quant à l’approbation éventuelle de la substance active, fixer les conditions ou restrictions appropriées liées à toute approbation.
permettre une estimation des résidus finaux totaux dans la fraction pertinente des produits de la récolte qui ont été traités selon le programme prévu, identifier les composants principaux du résidu final total, indiquer la distribution des résidus entre les fractions pertinentes du produit de la récolte, quantifier les composants principaux du résidu et établir l’efficacité des méthodes d’extraction de ces composants, fixer la définition et l’expression d’un résidu.
identifier les principaux composants du résidu final total dans les produits animaux comestibles, chiffrer le taux de dégradation et d’excrétion du résidu total dans certains produits animaux (lait ou œufs) et excrétions animales, indiquer la distribution des résidus entre les produits animaux comestibles pertinents, quantifier les principaux composants du résidu et démontrer l’efficacité des méthodes d’extraction de ces composants, produire des données pouvant servir à la prise d’une décision sur la nécessité d’effectuer des études sur l’alimentation animale conformément au point 6.4, fixer la définition et l’expression d’un résidu.
quantifier les concentrations de résidus maximales probables dans les cultures traitées, au moment de leur récolte ou de la sortie du stock conformément aux bonnes pratiques agricoles proposées et déterminer, le cas échéant, le rythme de diminution des dépôts du produit phytopharmaceutique.
si la présence de résidus significatifs (≥ 0,1 mg/kg de la ration fourragère totale distribuée, sauf cas particuliers comme celui des substances actives accumulables) est observée dans les cultures ou parties de végétaux (épluchures ou déchets, par exemple) utilisées pour l’alimentation animale et s’il ressort des tudes du métabolisme que des résidus significatifs (0,01 mg/kg ou en concentration supérieure à la limite de détermination, si celle-ci était supérieure à 0,01 mg/kg) peuvent se présenter dans tout tissu animal comestible, compte tenu des concentrations de résidus présentes dans les aliments potentiels pour animaux obtenues à la suite de l’administration d’une dose.
de la place prise par un produit transformé dans la ration alimentaire ou fourragère, de la concentration des résidus dans le végétal ou produit végétal à transformer, des propriétés physicochimiques de la substance active ou des métabolites pertinents et de la possibilité que des produits de dégradation en teneur toxicologiquement significative soient détectés après la transformation des végétaux ou du produit végétal.
déterminer la distribution quantitative des résidus dans les divers produits intermédiaires et finis et estimer les facteurs de transfert, permettre une estimation plus réaliste de l’ingestion de résidus par la ration alimentaire ou fourragère.
permettre une décision quant à l’approbation éventuelle de la substance active, fixer les conditions ou restrictions appropriées liées à toute approbation, classer la substance active quant aux dangers, fixer les pictogrammes, les mentions d’avertissements et les mentions de danger et conseils de prudence appropriés pour la protection de l’environnement, à faire figurer sur l’emballage (récipients), prévoir la dispersion, le devenir et le comportement dans l’environnement de la substance active, des métabolites pertinents et des produits de dégradation et de réaction sensibles ainsi que les durées correspondantes, identifier les espèces et populations non ciblées menacées en raison d’une exposition éventuelle et définir les mesures nécessaires pour réduire au minimum la contamination de l’environnement et l’incidence sur les espèces non ciblées.
couvrir une plage de teneurs en carbone organique, de distribution granulométrique et de pH, et couvrir les plages de pH suivantes quand d’autres informations donnent à penser que la dégradation ou la mobilité pourraient dépendre du pH [par exemple solubilité et taux d’hydrolyse (points 2.7 et 2.8)]: 4,5 à 5,5, 6 à 7, et 8 (approximativement).
de définir, dans la mesure du possible, l’importance relative des types de processus mis en jeu (importance relative de la dégradation chimique et de la dégradation biologique), d’identifier les composants présents représentant constamment plus de 10 % de la quantité de substance active ajoutée, ainsi que, dans la mesure du possible, les résidus non extractibles, d’identifier également dans la mesure du possible les composants représentant moins de 10 % de la quantité de substance active ajoutée, d’établir les proportions relatives des composants (bilan massique), et de définir le résidu dans le sol auquel les espèces non ciblées sont exposées ou peuvent l’être.
la substance active, le CO 2 ,les composés volatils autres que le CO 2 ,les produits de transformation individuels identifiés, les substances extractibles non identifiées, et les résidus non extractibles présents dans le sol.
quand la nature et le mode d’utilisation des préparations contenant la substance active excluent toute possibilité de contamination du sol comme dans le cas des emplois sur des produits stockés ou des traitements de cicatrisation des arbres ou quand une étude distincte relative aux métabolites et aux produits de dégradation ou de réaction a été effectuée conformément au point 7.1.2 ou au point 7.1.3.1.
la mobilité dans le sol, le potentiel de lixiviation vers les eaux souterraines, la dispersion potentielle dans le sol.
la persistance dans les systèmes aquatiques (sédiments de fond et eau, y compris les matières en suspension), le niveau de danger auquel l’eau, l’air et les organismes vivant dans les sédiments sont exposés, le potentiel de contamination des eaux de surface et des eaux souterraines.
définir l’importance relative des types de processus mis en jeu (importance relative de la dégradation chimique et de la dégradation biologique), identifier dans la mesure du possible les différents composés, établir les proportions relatives des composés présents et leur distribution entre l’eau, matières en suspension incluses, et le sédiment et permettre de définir les résidus auxquels les espèces non ciblées sont exposées ou peuvent l’être.
permettre une décision quant à l’approbation éventuelle de la substance active, fixer les conditions ou restrictions appropriées liées à toute approbation, permettre une évaluation des risques à court terme comme à long terme pour les espèces non visées (populations, communautés et processus, selon le cas), classer la substance active en fonction du danger, préciser les précautions à prendre pour protéger les espèces non ciblées, et fixer les pictogrammes, les mentions d’avertissements et les mentions de danger et conseils de prudence appropriés pour la protection de l’environnement, à faire figurer sur l’emballage (récipients).
lorsque le FBC est supérieur à 1000 et que l’élimination de la substance active au cours d’une phase d’épuration de 14 jours est inférieure à 95 %, oulorsque la substance est stable dans l’eau ou dans le sédiment (DT 90 > 100 jours).
l’entreposage des denrées alimentaires en espace clos, les traitements non systémiques des semences, les préparations non systémiques pour l’épandage sur le sol, les traitements non systémiques par trempage des plants et bulbes repiqués, les traitements des plaies et des blessures, les appâts rodenticides, l’emploi en serre sans pollinisateur.
l’entreposage des denrées alimentaires en espace clos, les traitements des plaies et des blessures, les appâts rodenticides.
pictogramme(s), mentions d’avertissement, mentions de danger, conseils de prudence.
est indigène ou non indigène, au niveau de l’espèce, de la zone d’application envisagée, est une souche sauvage, est un mutant spontané ou induit, a été modifié au moyen de techniques décrites dans l’annexe IA, partie 2, et l’annexe IB, de la directive 2001/18/CE du Parlement européen et du Conseil .JO L 106 du 17.4.2001, p. 1 .
bactéricide, fongicide, insecticide, acaricide, molluscicide, nématocide, herbicide, autres (à préciser).
utilisation au champ (agriculture, horticulture, foresterie, viticulture, etc.), cultures protégées (sous serre, par exemple), jardins publics, désherbage des terres non cultivées, jardinage, plantes d’intérieur, produits entreposés, autres (à préciser).
Impuretés, métabolites, métabolites pertinents, résidus | Conformément à la définition du règlement (CE) n |
Impuretés pertinentes | Impuretés, telles que définies ci-dessus, préoccupantes pour la santé humaine ou animale et/ou pour l’environnement. |
i) des échantillons du micro-organisme technique; ii) des étalons pour l’analyse des métabolites pertinents (en particulier des toxines) et de tous les autres composants compris dans la définition des résidus; iii) s’ils sont disponibles, des échantillons des substances de référence pour les impuretés pertinentes.
Méthodes d’identification du micro-organisme. Méthodes d’obtention d’informations sur la variabilité possible de l’inoculum initial/du micro-organisme actif. Méthodes employées pour différencier les mutants du micro-organisme de la souche sauvage initiale. Méthodes employées pour établir la pureté de l’inoculum à partir duquel les lots sont produits, et méthodes employées pour contrôler la pureté. Méthodes employées pour déterminer la teneur en micro-organisme du matériel fabriqué utilisé pour la production des produits formulés et méthodes permettant de démontrer que les micro-organismes contaminants sont contenus dans des limites acceptables. Méthodes de détermination des impuretés pertinentes dans le matériel fabriqué. Méthodes employées pour vérifier l’absence et quantifier la présence (avec les limites appropriées de détermination) de tout agent pathogène pour les êtres humains et les mammifères. Méthodes permettant de déterminer la stabilité à l’entreposage et la durée de conservation du micro-organisme, le cas échéant.
du ou des micro-organismes actifs, des métabolites pertinents (en particulier les toxines),
permettre une décision quant à l’approbation éventuelle du micro-organisme, permettre la fixation de conditions ou restrictions appropriées liées à une éventuelle approbation, permettre la définition des mentions relatives à la nature des risques et aux conseils de prudence (une fois introduites) pour la protection de l’être humain, des animaux et de l’environnement à faire figurer sur les emballages (récipients), définir les soins d’urgence appropriés ainsi que les mesures adéquates de diagnostic et de traitement thérapeutique à appliquer aux personnes en cas d’infection ou d’autre effet néfaste.
la toxicité, la pathogénicité et l’infectiosité du micro-organisme, l’évolution au cours du temps et les caractéristiques des effets, avec description exhaustive des modifications comportementales et des éventuelles constatations macropathologiques à l’inspection post mortem, si possible, le mode d’action toxique, les dangers relatifs associés aux diverses voies d’exposition et les analyses de sang réalisées au cours de toutes les études, afin d’évaluer l’élimination du micro-organisme.
la prédiction du pouvoir génotoxique, l’identification précoce des cancérogènes génotoxiques, l’explication du mécanisme d’action de certains cancérogènes.
la relation entre la dose et les effets néfastes, la toxicité du micro-organisme, y compris le cas échéant la DSENO pour les toxines, les organes ciblés, le cas échéant, l’évolution au cours du temps et les caractéristiques des effets, avec description exhaustive des modifications comportementales et des éventuelles constatations macropathologiques à l’inspection post mortem, les effets toxiques particuliers et les changements pathologiques provoqués, le cas échéant, la persistance et la réversibilité de certains effets toxiques observés, à la suite d’une interruption d’administration, si possible, le mode d’action toxique et les dangers relatifs associés aux diverses voies d’exposition.
permettre une décision quant à l’approbation éventuelle du micro-organisme, fixer les conditions ou restrictions appropriées liées à toute approbation, le cas échéant, fixer les limites maximales de résidus, les délais d’emploi avant récolte destinés à protéger les consommateurs et les délais d’attente destinés à protéger les travailleurs amenés à manipuler les récoltes et les produits traités.
permettre une décision quant à l’approbation éventuelle du micro-organisme, fixer les conditions ou restrictions appropriées liées à toute approbation, fixer les pictogrammes (une fois introduits), les mentions d’avertissements et les mentions de danger et conseils de prudence appropriés pour la protection de l’environnement, à faire figurer sur l’emballage (récipients), prévoir la dispersion, le devenir et le comportement dans l’environnement du micro-organisme et de ses métabolites ainsi que les durées correspondantes, déterminer les mesures nécessaires pour réduire au minimum la contamination de l’environnement et l’incidence sur les espèces non ciblées.
le métabolite pertinent est stable hors du micro-organisme (voir point 2.8), l’effet toxique du métabolite pertinent est indépendant de la présence du micro-organisme, le métabolite pertinent est susceptible d’être présent dans l’environnement à des concentrations considérablement plus élevées que dans des conditions naturelles.
à la compétitivité dans les conditions environnementales normales au moment de l’utilisation proposée et après celle-ci, à la dynamique de population sous des climats marqués par des extrêmes à caractère saisonnier ou régional (étés particulièrement chauds, hivers particulièrement froids, précipitations abondantes) et aux pratiques agricoles mises en œuvre après l’application du produit.
permettre une décision quant à l’approbation éventuelle du micro-organisme, fixer les conditions ou restrictions appropriées liées à toute approbation, permettre une évaluation des risques à court terme comme à long terme pour les espèces non ciblées (populations, communautés et processus, selon le cas), classer le micro-organisme selon le danger biologique qu’il présente, préciser les précautions à prendre pour protéger les espèces non ciblées, et fixer les pictogrammes (une fois introduits), les mentions d’avertissements et les mentions de danger et les conseils de prudence appropriés pour la protection de l’environnement, à faire figurer sur l’emballage (récipients).
la dissémination et le devenir dans l’environnement, avec mention des durées correspondantes, l’identification des espèces et des populations non ciblées susceptibles d’être affectées ainsi que l’ampleur de leur exposition potentielle, la détermination des précautions nécessaires pour éviter ou réduire au minimum la contamination de l’environnement protéger les espèces non ciblées.